Luis de Camões Tradução – Traduction textobilingue
OS LUSIADAS
Obra Poética
(1556)
LES LUSIADES
A Epopeia Portuguesa
CHANT I Canto Primeiro
Traduction Jacky Lavauzelle
verso 31 Strophe 31
I-31
Ouvido tinha aos Fados que viria Ils avaient entendu desParquesque viendrait Uma gente fortíssima de Espanha Un peuple prestigieux d’Espagne Pelo mar alto, a qual sujeitaria…
Luis de Camões Tradução – Traduction textobilingue
OS LUSIADAS
Obra Poética
(1556)
LES LUSIADES
A Epopeia Portuguesa
CHANT I Canto Primeiro
Traduction Jacky Lavauzelle
verso 30 Strophe 30
I-30
E stas palavras Júpiter dizia, Jupitera dit ces mots, Quando os Deuses por ordem respondendo, Quand les dieuxqui, par ordre, répondaient, Na sentença um do outro diferia,…
Luis de Camões Tradução – Traduction textobilingue
OS LUSIADAS
Obra Poética
(1556)
LES LUSIADES
A Epopeia Portuguesa
CHANT I Canto Primeiro
Traduction Jacky Lavauzelle
verso 29 Strophe 29
I-29
« E porque, como vistes, têm passados « Et car, comme vous l’avezvu, ils se sont heurtés Na viagem tão ásperos perigos, Sur leur trajet à de si dursdangers, Tantos climas e céus experimentados,…
Luis de Camões Tradução – Traduction textobilingue
OS LUSIADAS
Obra Poética
(1556)
LES LUSIADES
A Epopeia Portuguesa
CHANT I Canto Primeiro
Traduction Jacky Lavauzelle
verso 28 Strophe 28
I-28
« Prometido lhe está do Fado eterno, « La Promesse est celle du Destin éternel, Cuja alta Lei não pode ser quebrada, Dont la loine peut jamais êtrebrisée, Que tenham longos tempos o governo…
Luis de Camões Tradução – Traduction textobilingue
OS LUSIADAS
Obra Poética
(1556)
LES LUSIADES
A Epopeia Portuguesa
CHANT I Canto Primeiro
Traduction Jacky Lavauzelle
verso 27 Strophe 27
I-27
« Agora vedes bem que, cometendo « Maintenant, vous voyez que, bravant O duvidoso mar num lenho leve, La merincertaine avec un si léger bois insuffisant, Por vias nunca usadas, não temendo…
Luis de Camões Tradução – Traduction textobilingue
OS LUSIADAS
Obra Poética
(1556)
LES LUSIADES
A Epopeia Portuguesa
CHANT I Canto Primeiro
Traduction Jacky Lavauzelle
verso 21 Strophe 21
I-21
Deixam dos sete Céus o regimento, Ils laissèrent les sept Ciels où ils règnent, Que do poder mais alto lhe foi dado, Par le pouvoir le plus haut quipuisse être donné, Alto poder, que só co’o pensamento…
[создатель современного русского литературного языка]
– ПРОРОК стихотворение Le Prophète
[Poème]
1826
Духовной жаждою томим, Tourmenté par la soif spirituelle, В пустыне мрачной я влачился, — Dans un sombre désert je me traînais- И шестикрылый серафим Et un séraphin à six ailes…
William Butler Yeats
English literature English poetry Littérature Anglaise – Poésie Anglaise
YEATS
1865-1939
[The Wind Among The Reeds – 1899]
– THE FIDDLER OF DOONEY poem Le Violoniste de Dooney
[Poème]
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When I play on my fiddle in Dooney, Quand je jouede monviolonà Dooney, Folk dance like a wave of the sea; Les gens dansentcomme une vaguede la mer; My cousin is priest in Kilvarnet, Mon cousinestprêtre à Kilvarnet, My brother in Mocharabuiee. Mon frèreà Mocharabuiee.
I passed my brother and cousin: Je passai voir mon frèreet mon cousin : They read in their books of prayer; Ils lisaientdans leurs livresde prières ; I read in my book of songs Je lisais dansmon livrede chansons I bought at the Sligo fair. Que j’ai achetéà la foirede Sligo.
When we come at the end of time, Quand nous arriveronsà lafin des temps, To Peter sitting in state, Devant Pierre assis comme le veut son état, He will smile on the three old spirits, Ilsourira aux troisvieux esprits, But call me first through the gate; Maism’appellera le premier pour passer la porte ;
For the good are always the merry, Car les bons sonttoujoursjoyeux, Save by an evil chance, Sauf par un malheureux hasard, And the merry love the fiddle Et lesjoyeuxadorent le violon And the merry love to dance: Etles joyeux adorent danser :
And when the folk there spy me, Et quandles gens de là-basme guetterons, They will all come up to me, Ilsviendront tousà moi, With ‘Here is the fiddler of Dooney!’ Avec des «Voici le violonistedeDooney ! » And dance like a wave of the sea. Etdanseront commeune vague dela mer.
No enfrene tu gallardo pensamiento
– Aucunfrein à ta gaillarde pensée
A DON LUIS GAYTÁN DE AYALA
SEÑOR DE VILLAFRANCA DE GAYTÁN
No enfrene tu gallardo pensamiento Aucunfrein à ta gaillarde pensée del animoso joven mal logrado d’une fougueuse jeunesse malmaîtrisée el loco fin, de cuyo vuelo osado la folle fin, de qui le vol osé fue ilustre tumba el húmido elemento.
fut une illustretombe dans l’humideélément…
C’est le destin, maître de tout qui dirige le mouvement. Sans libération avec lassitude, oubli, parfois résignation attendue et sereine, toujours dans l’abandon de toute volonté :
« The weariest river, répétait-elle souvent, la rivière la plus lasse, j’aime bien ça…C’est moi, Dickie, la rivière la plus lasse… Et je m’en vais tout doucement vers la mer. » (Climats)
« Maintenant nous irons à pied. Je veux vous montrer la petite chapelle ancienne, celle où s’agenouille le torero avant de tuer ou d’être tué. Vous aimé les corridas, maestro ? No ? Je vous les ferai aimer. Mais d’abord il faut aimer la Mort. Nous autres, Espagnols, pensons tout le temps à notre mort. Nous la voulons honorable et belle. Ce qui nous plaît dans les courses de taureaux, c’est une grâce souriante, face aux cornes meurtrières…Nuestra vidas son los rios – Que van dar a la ma, – Que es el morir…Vous comprenez ? « Nos vies sont les ruisseaux – Qui vont se jeter dans la mer, – Qui est la Mort.» (Les Roses de septembre)
Notre monde lui-même n’est pas brillant, la chute est là d’une mort à l’autre : « Qu’espères-tu de ce monde mort ? As-tu si grande hâte de mourir toi-même ? » (Le Cercle de Famille)
Aussi, même sans le sentiment d’un avenir radieux de l’au-delà, la mort conserve t’elle quelques attraits : «Elle avait beaucoup aimé son père, mais elle pensait que pour lui la mort était une délivrance et aussi qu’il fallait être dure. » (Le Cercle de Famille)
« J’ai peur de la torpeur morale où je te vois tomber. Tes plaisirs ne sont plus les vrais plaisirs, tes joies ne sont plus les vraies joies et je ne puis croire que ta résignation nonchalante soit la vraie sagesse » (Le Cercle de Famille)
La grâce n’apparaît pas, même dans au dernier moment. Lassitude, réduction et disparition. La nuit est là dans un repos silencieux : « Ils dorment tous. C’est bien. La journée a été rude. Cela doit être bon de dormir » (Anouilh, Antigone)
André Maurois ou la lente dérive vers la mer Jacky Lavauzelle