Republic Ha Mégegyszer Láthatnám (Republic : 1990 création –2013 ) (Après la perte du leader du groupe, Bódi László « Cipő« , le 11 mars 2013, Zoltán Tóth a quitté le groupe.)
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Kispál és a Borz (fondé en 1987 à Pécs par András Lovasi, András Kispál, Rezső Ózdi et Gábor Bräutigam. Dissolution du groupe le 9 août 2010) Ha az életben
Nagy Feró és A Beatrice Mielőtt végleg elmegyek (Formation de A Beatrice en 1999: Károly Székely, Feró Nagy, István Fülöp, Ferenc Laczik, Zsolt Péter.) ( Nagy Feró né à Letenye le 14 janvier 1946)
Latabár Kálmán & Fejes Teri Sárgarigófészek Latabár Kálmán (1902-1970 : comique très populaire dans les années d’après-guerre) Fejes Teri (21 septembre 1902 – 18 décembre 1994)
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Sándor Pécsi & Fejes Teri Deborah Sándor Pécsi (acteur hongrois – 1922-1970)
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POÉSIE HONGROISE LITTÉRATURE HONGROISE MAGYAR KÖZÖSSÉG MAGYAR IRODALOM
John Coltrane Quartet Wise One (Tenor Saxophone: John Coltrane, Piano: McCoy Tyner, Upright Bass: Jimmy Garrison, Drums: Elvin Jones, Composer: John Coltrane)
Michel Petrucciani Take the a Train (Michel Petrucciani (piano), Anthony Jackson (bass), Steve Gadd (drums), Stefano Di Battista (saxophone), Flavio Boltro (trumpet), Denis Leloup (trombone)) (Nice Jazz Festival 1998)
Médéric Collignon King Crimson Part 2 & King Crimson Part 3 (Médéric Collignon, Fred Chiffoleau, Franck Woeste, Philippe Gleizes, QDS, Anne Lepape, Youri Bessières, Olivier Bartissol, Valentin Ceccaldi)
Sophie Alour Exil(s) La chaussée des géants Sophie Alour (saxophone, flûte, compositions); Mohamed Abozékry (oud) ; Donald Kontamanou (batterie); Philippe Aerts (contrebasse); Damien Argentieri (piano) ; Wassim Halal (derbouka, bendir)
Le Sacre du Tympan Fred Pallem SoundtraX – Plurabella’s Walk Fred Pallem (Guitare basse) Vincent Taeger (Batterie) Vincent Taurelle (Claviers) Ludovic Bruni (Guitares) Rémi Sciuto (Claviers, flûte, saxophones, ocarina) Fabrice Martinez (Trompette) Michel Feugère (Trompette) François Bonhomme (Cor) Daniel Zimmermann (Trombone) Lionel Ségui (Trombone Basse)
Sophie Alour (Avec Dédé Céccarrelli, Stephane Belmondo, Glenn Ferris, Rhoda Scott, Alain Jean-Marie, David El Malek, Sylvain Romano, Laurent Coq, Sandro Zérafa, Arrangements François Theberge) Time for Love
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Alvin Queen Trio (Alvin Queen, Peter Washington, Dado Moroni) Estate
Marcus Miller Run for Cover (Marcus Miller – bass, Dean Brown – guitar, Patches Stewart – trumpet, Everette Harp – saxophone, Philippe Saisse – keyboards, Steve Thornton – percussion, Poogie Bell – Drums)
Steve Coleman & Five Elements (Steve Coleman – alto sax/ Jonathan Finlayson – trompette /Anthony Tidd – bass / Sean Rickman – drums) Ascending Numeration
Dizzy Gillespie, Roy Eldridge, Teddy Buckner ,Bill Coleman (Martial Solal au piano & Arvell Shaw contrebasse & James Charles Heard, J. C. Heard à la batterie) Trumpet Battle
Coleman Hawkins Buck Clayton (tp); Coleman Hawkins, Illinois Jacquet, Lester Young (ts); Kenny Kersey (p); Al McKibbon (b); J.C. Heard (d) I Can’t Get Started
Antonio Vivaldi Andromeda Liberata Serenata Veneziana Sérénade de Venise Acte II – Scène 5 Sovvente il sole Souvent le soleil (Philippe Jaroussky)
Souvent le soleil resplendit dans le ciel, Plus beau et agréable si un sombre nuage l’a d’abord assombri. Et la mer calme, presque sans vagues, On ne peut l’apercevoir que si une rude tempête l’a d’abord troublée.
Karol Szymanowski Król Roger La chanson de Roxana (Georgia Jarman , Mariusz Kwiecień)
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Richard Wagner Der Ring des Nibelungen L’Anneau du Nibelung Siegfried, Acte 1 Nothung! (Direction Daniel Barenboim)
* Zacharia Paliashvili აბესალომ და ეთერი Abesalom da Eteri აბესალომის და მურმანის დუეტი Duo d’Absalom et Murman (Zacharia Paliashvili Tbilissi Opera and Ballet State Symphony Orchestra dirigé par Irakli Cholokashvil)
Pierre-Alexandre Monsigny Le roi et le fermier Acte I – final + entracte Ah ! Richard. Ah ! Mon cher ami ! (William Sharp, Dominique Labelle , Yulia Van Doren)
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Georg Friedrich Haendel Serse Ombra mai fu (Sara Mingardo, Accademia degli Astrusi)
Peter Eötvös Trois sœurs Three sisters Second Sequence Andrei – No.20 Monológ Andreya O, gde onó, kudá (Albert Schagidullin,Orchestre de l’Opéra de Lyon, Kent Nagano)
Daniel-François-Esprit Auber La Muette de Portici Act IV (Finale) Honneur et gloire ! Célébrons ce héros (Thomas Fulton, Orchestre Philharmonique de Monte Carlo, Monte-Carlo, 1996)
Créée par JUNKA ( Léonce Junca né à Bordeaux en 1878- mort en 1945) au Petit Casino C. VILDEZ (Carmen Vildez – Carmen Vallejo – Chanteuse lyrique des concerts parisiens – 17 mars 1884 – 8 mars 1977) à l’Eldorado Mme DEPARME (Jane Deparme) à Ba-ta-clan (Le Grand Café Chinois-Théâtre Ba-ta-clan, future salle du Bataclan) VILETTE au Casino Saint Martin (ex Fantaisies Saint-Martin, créé en 1896 – Casino Saint-Martin, en 1907, sous la direction des frères Comte) STRADEL au Kursaal ROSEL à la Fauvette (En 1891, le Bal du Siècle – 1894 Gaîté des Gobelins puis et La Fauvette (Concert Pacra -Restauration Ernest Pacra). En 1937 devient un cinéma – En 1992 devient le Gaumont Gobelins) SIGARD – HAUPTO – NIOT – NODER- Mme J. HESBLY (Jeanne Hesbly)- O’REVIL
Paroles de ARMAND FOUCHER (1872-1954) Musique de JULES VERCOLIER (Jules Amable Vercolier (18..-1912)
Paris – Edition Vercolier – 53 Faubourg St Martin – Paris Imprimerie Moderne
PAROLES de Lucien BOYER (né le 20 janvier 1876 à Leognan (Gironde) et mort le 16 juin 1942)et Louis MARCHAND (né en 18xxx et mort le 22 octobre 1967) MUSIQUE de Jean BOYER
1926
Premier Couplet
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poète, compositeur, chansonnier et goguettier français LUCIEN BOYER (père de JEAN BOYER 1901-1965)
Scènes de la vie Géorgienne
CHANTS ET MUSIQUES
EN 1863
Cette bataille sauvage, ces luttes étranges durent environ deux heures, et se terminent au signal du chef de la fête, élu parmi le peuple géorgien. A sa voix, la scène change soudain. La foule se forme par groupes inégaux dans la plaine ardente, les plus riches sous des tentes, les autres sous de larges ombrelles en toile écrue ; hommes et femmes s’accroupissent autour de petites tables basses, et le festin commence. La musique orientale, bruyante, folle, éveille les échos de la Montagne-Rouge. Les femmes, vêtues de leurs plus éclatans costumes, pieds nus ou chaussés de babouches à hauts talons, se dépouillent de leurs tchadras, et leurs voiles écartés laissent voir des visages frais comme ces roses qu’aimait le poète Hafiz. Égayée par la variété des costumes étincelans, la plaine ressemble de loin à un vaste champ de blé mouvant tout étoile de marguerites, de bluets et de coquelicots. Les jeunes filles dansent au son de la zourna (fifre) et de la dahira (tambourin), et les mélodies populaires du Caucase se croisent dans l’air, pareilles aux fusées d’un feu d’artifice. La danse et les chansons alternent. Les azarpèches, les koulas (vases à boire), les cornes de buffle circulent à la ronde, et les outres se vident au milieu des cris, des quolibets lancés d’un groupe à l’autre. Les moins bruyans se racontent des légendes du pays, jouent aux cartes ou au loto; les plus graves, comme des fakirs indiens, fument en silence et agitent machinalement entre leurs doigts des chapelets d’ambre ou d’anthracite. Si quelque chanteur en renom assiste à la fête, on se presse autour de lui, et il chante à pleine voix une de ces romances de guerre ou d’amour qui expriment si fidèlement la fière mélancolie propre au caractère géorgien, celle-ci par exemple :
« Toutes les fois que la nuit, sous mon bourka (manteau), je dors sans me réveiller jusqu’à l’étoile matinale,
« Trois visions du paradis descendent vers moi, et je vois dans mon rêve trois merveilleuses beautés.
« Les yeux de la première beauté brillent d’un éclat qui fait pâlir les étoiles de la nuit.
«Quand la deuxième lève ses cils, son regard a la pénétration des yeux du serpent.
« Jamais la nuit, dans les montagnes, n’est aussi sombre que chez la troisième le noir profond de ses yeux.
«Et quand à l’aurore mon sommeil s’envole, sans me lever encore, je regarde dans le vide du firmament.
« Je regarde sans cesse, et je rêve en silence : si j’avais de l’argent, de l’argent, je construirais une maison;
«Je l’entourerais de hautes murailles, et je m’y enfermerais avec mes visions.
«Du matin au matin, je leur chanterais des chansons ; de l’aurore à l’aurore, mes regards plongeraient dans leurs yeux. »
….
Héraklé, scènes de la vie géorgienne Henri Cantel Revue des Deux Mondes
Tome 46
1863
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Géorgie საქართველო
LES PLUS BELLES CHANSONS DE GEORGIE
CHANSONS GEORGIENNES
Hoje vou procurar o Fado secreto
Como Arthur procurando por seu Graal
Nas noites de Lisboa, me disseram
Disseram-me para me perder na Aflama
Lá, eu deveria mergulhar minha alma : Alfama fica fechado Em quatro paredes de água Quatro paredes de pranto
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
No enorme terraço do Martim Moniz, cheio de sol
O metrô abriu como uma estranha baleia
Banhado em uma doce manhã de outono
Martim Moniz acordou com vozes desconhecidas
A luz suave iluminou a escuridão profunda do metrô
Os degraus do metrô guiaram fielmente meus passos
Sonolentos, comecei a minha jornada incerta
Uma curiosa alegria me enche de dúvida
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
O rosto da Mouraria suspirou com uma incrível languidez
La Mouraria queria e esperou o que não poderia acontecer
Em um frenesi quase impassível, é possível?
Eu vaguei pelas ruas da Mouraria
Para ver se eu poderia encontrar algumas letras
Para ver se eu ouvi algumas músicas do dia anterior Almas vencidas e Noites perdidas Sombras bizarras Na Mouraria
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
Eu ainda não encontrei nada, pobre infeliz,
Eu então subi, desapontado, pobre infeliz,
Pela estreita e sinuosa Rua dos Cavaleiros
Onde meu passo ficou triste, por quê?
Onde meu passo ficou pesado, por quê?
Eu ainda não encontrei o objeto da minha busca
Mas eu vi cartazes voluptuosos
Onde acendeu lindas fadistas inatingíveis
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
Eu vi fadistas encantadores tão lindos
Que eles poderiam virar o vento mais louco
Levemente véu a luz divina
Traga Marco Polo de volta da distante Ásia
Pare Cristóvão Colombo em sua corrida
Eu vi fadistas encantadores tão lindos
Capaz de acordar os mortos enterrados
E chame como um farol uma alma perdida
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
Uma harmonia estava passando
Entre as persianas semi-fechadas
Na bagunça de calçadas brancas:
Uma harmonia me abraçou carinhosamente
Não quero cantar amores,
Amores são passos perdidos
Uma harmonia me subjugou
Na bagunça de pedras brancas
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
Lá em cima pensei ver a cidade
Eu acho que vi o mundo inteiro
Calçada de Santo André estava me esperando
Eu vi Graça me cobrindo com suas asas largas
E meu peito aberto, aberto enquanto
Eu ouvi meu coração bater alto
Eu escutei e escutei ainda mais
Mas meu coração ficou surdo ainda mais
Lá eu vou sentir a Saudade
Lá eu vou entender o fado
Se cantar está chorando de alegria
Se andar é acompanhar o ritmo do seu coração
Eu estava andando sobre uma dor infinita
E sobre uma esperança igualmente forte
Começando a penetrar nos primeiros
Pequenos becos de Alfama que serpenteavam
Uma oração veio ao meu coração
Eu cantei uma queixa feliz e triste
Aqui, a Saudade me tocou
Aqui, ouvi o coração do Fado
Você é assim!
Eu sou seu convidado
Quando você diz sim
Você me diz não
Mas às vezes sim
Eu sou seu brinquedo
É de acordo com
Cada vez mais
Eu não sei mais
Eu sou mulher
Se você é um homem
E eu sou um homem
Se você é mulher
Às vezes ambos
É de acordo com
É como você quer
Voce me diz
O hábito é um veneno
O pior de tudo
Você me diz
Voce me diz
Que o hábito é um veneno
O pior de tudo
Você me diz
Mas você me diz
Que tudo pode ser esquecido
De acordo com o desejo
De seus desejos
É de acordo com
Você é contra
Por princípio
Até contra mim
Especialmente assim
É assim
Quando te beijo
Você está gritando
Você me trata
Como um ladrão
Dos seus beijos
Dos seus beijos
Mas se alguma vez
Um dia
Eu esqueço
Você me trata
Como um bastardo
É assim
De me dizer
Que você é sensível
Colando um tapa ou dois
É de acordo com
A ideia de uma carícia
isso te faz preguiçoso
É complicado
É de acordo com
Mas se eu esquecer
O beijo da noite
Eu sou apenas um cara pobre
O pior de todos os bastardos
Mas eu sei que há pior
Não maior
Não mais bonito
É de acordo com
Você está de mau humor
Por algumas horas
É assim
Eu escolhi você
Quando você me guiar Para ouvir um concerto
O que você escolheu
Eu nunca me movo
Como é preciso
Eu fiquei
Você me diz
Eu não sou música
Eu não sinto isso
Como é preciso
Você me diz
À meia-noite
Você me leva
Para o abraço
À meia-noite
É como um banho
Sem água
Com bocas
E mãos
É assim
Você me diz
Se foi pior
Ou requintado
É assim
Eu sou sua lenda
Ou o seu pobre rapaz
É como
Eu não sei
Não mais
Para te fazer
Um bebê
Mas você
Está grávida
O vizinho não é um lenda
Nem patife
É o pai
Você me diz
Beijando o barman
No balcão
Eu acho que
Estou cansado
Que todos esses dias
Você me pegou
Para sempre
Hoje à noite eu vou olhar
Informaçãoes
Na TV podre
Você me disse
Que o barman
Queria te apresentar
Para seus amigos
É assim
Eu chego em casa sozinho
Viva o vento
Viva o vento do inferno
É assim
É de acordo com
É minha vida
Eu o amo muito
Eu sei que ela
Não está sozinha
É melhor assim
Você é assim!