Yo soy como las gentes que a mi tierra vinieron Je suis comme ceux qui vinrent sur ma terre —soy de la raza mora, vieja amiga del Sol—, -Je suis de race maure, vieille amie du soleil-, que todo lo ganaron y todo lo perdieron. qui gagnèrent tout, pour tout perdre ensuite…
« Vem de toda a província que de um Brigo « Plusieurs arrivèrent de la province à qui Brigus avait (Se foi) já teve o nome derivado; Donné le nom, connue comme la Castille désormais ;…
**
OS LUSIADAS CANTO IV
****
–
Vasco de Gama par Gregorio Lopes
**************
**
LA MORT DU VETERAN CAMOES
Et puis, pour qu’un royaume ait des gens de lettres, il lui faut de l’argent pour les pensionner. Le Portugal, qui épuisait son épargne en flottes, en armées, en constructions de citadelles, ne pouvait avoir dans son budget un chapitre d’encouragemens aux lettres et aux arts. Bientôt même l’état ruiné par ses conquêtes, obéré par la victoire, n’eut plus de quoi suffire aux besoins de ses armées : il finit par ne pouvoir plus nourrir ceux qui l’avaient servi. Camoens mourut à l’hôpital, ou à-peu-près ; mais ce ne fut pas comme poète ; ce ne fut pas comme Gilbert et Maifilâtre à côté d’autres écrivains largement rentes: ce fut comme un vétéran dont la solde manque, ou dont la pension de retraite est suspendue.il mourut comme beaucoup de ses compagnons d’armes, comme mouraient les vice-rois eux-mêmes, qui n’avaient pas toujours (témoin dom Joâo de Castro) de quoi acheter une pouie dans leur dernière maladie. … « Qu’y a-t-il de plus déplorable que de voir un si grand génie si mal récompensé ? Je l’ai vu mourir dans un hôpital de Lisbonne, sans avoir un drap pour se couvrir, lui qui avait si bravement combattu dans l’Inde orientale et qui avait fait cinq mille cinq cents lieues en mer. Grande leçon pour ceux qui se fatiguent à travailler nuit et jour et aussi vainement que l’araignée qui ourdit sa toile pour y prendre des mouches. » Il peut résulter de cette apostille que José Indio a vu Camoens à l’hôpital, sans qu’il faille prendre à la lettre les mots je l’ai vu mourir. Ce fut dans ces circonstances que le désastre d’AIkacer Kébir (4 août 1578) frappa de mort le Portugal. Il restait encore à Camoens une larme pour sa patrie : Ah ! s’écria-t-il, du moins je meurs avec elle ! Il répéta la même pensée dans la dernière lettre qu’il ait écrite. « Enfin, disait-il, je vais sortir de la vie, et il sera manifeste à tous que j’ai tant aimé ma patrie, que non-seulement je me trouve heureux de mourir dans son sein, mais encore de mourir avec elle. » Il ne survécut que peu de mois à ce désastre, et mourut au commencement de 1579, à l’âge de cinquante-cinq ans. Il fut enterré très pauvrement dans l’église de Santa Anna, dit Pedro de Mariz, à gauche en entrant et sans que rien indiquât sa sépulture. Ses malheurs firent une impression si profonde, que personne ne voulut plus occuper la maison qu’il avait habitée. Elle est restée vide depuis sa mort. Les prévisions de Camoens ne tardèrent pas à s’accomplir. Le Portugal, ce royaume né d’une victoire et mort dans une défaite, tomba bientôt sous le joug de Philippe IL Ce monarque visitant ses nouvelles provinces, s’informa du poète, et, en apprenant qu’il n’existait plus, il témoigna un vif regret….
Charles Magnin Luiz de Camoëns Revue des Deux Mondes Période Initiale, tome 6
« E se tu tantas almas só pudeste « Et si toi seul tant d’âmes ta conduite Mandar ao Reino escuro de Cocito, Pu envoyer dans le sombre Royaume de Cocyte, Quando a santa Cidade desfizeste Quand la sainte Ville fut détruite Do povo pertinaz no antigo rito: Du peuple attaché à l’antique rite : Permissão e vingança foi celeste, La permission et la vengeance vinrent des nues, E não força de braço, ó nobre Tito, Et non de la force de ton bras, ô noble Titus, Que assim dos Vates foi profetizado, C’est ce que les Prophètes avait annoncé , E depois por Jesu certificado. Et Jésus ensuite avait confirmé.
*****
LES LUSIADES CHANT 3
*** ALPHONSE XI DE CASTILLE (13 août 1311 Salamanque – 26 mars 1350 Gibraltar) Le Justicier – El Justiciero
Alphonse XI de Castille Alfonso XI Peinture de Francisco Cerdá de Villarestan Musée du Prado – Madrid
****
Marie-Constance de Portugal Femme d’Alphonse XI de Castille (1328)
Fille d’Alphonse IV du Portugal et de Béatrice de Castille
(1313 – 1357)
Alphonse XI préférait sa maîtresse Leonor de Guzmán à Marie-Constance (celle-ci assassina Leonor à la mort d’Alphonse XI)
*******
Alphonse IV Le Brave ( Lisbonne – ) Roi de Portugal et de l’Algarve par la grâce de dieu
Alphonse IV Alfonso IV Peinture du XVIIIe siècle
********************
LES LUSIADES CHANT 3
*
Précisions historiques
et
Retour sur les versets précédents
Sonnet 1 à Sonnet 94 : la naissance du Portugal – Règnes d’Alphonse I, Sanche I, Alponse II et Sanche II. Le sonnet 94 évoque la passation de pouvoir de Sanche II à Alphonse III en 1247, un an avant la mort de Sanche II. Sonnet 94 : nous partons pour les 32 années de règne d’Alphonse III qui nous conduirons jusqu’en 1279, date du nouveau règne de Denis Ier.
Sonnet 95 : Camoes évoque les prises guerrières d’Alphonse III en Algarve sur les Maures.
Sonnet 96 : le règne de Denis Ier- Second fils d’Alphonse III. Son règne s’étalera de 1279 à sa mort, le 7 janvier 1325. Il nomme déjà son successeur Alphonse IV Le Brave qui règnera 32 ans de 1325 à 1357. Denis Ier va pacifier son pays – Poète et troubadour, il laissera de nombreux cantigas : cantigas de amor, cantigas de amigo, cantigas de escarnio y maldecir.
Sonnet 97 : création de l’Université de Coimbra sur les bords du Mondego -A Leiria, Denis Ier signera le Scientiae thesaurus mirabilis. L’université de Coimbra est créée en 1290.
Sonnet 98 : Denis Ier reconstruit et renforce son pays. Atropos, une des trois Moires, coupe son fil de vie en 1325. (les 3 Moires : Clotho, celle qui tisse le fil de la vie, Lachésis, celle qui déroule et qui répare le fil et la dernière Atropos, celle qui coupe). Voici venu le règne d’Alphonse IV.
Les Moires
Francisco de Goya 1820-1823 Musée du Prado – Madrid
Sonnet 99 : la traditionnelle opposition entre les Castillans et les Lusitaniens. Mais celle-ci n’empêche pas la solidarité et l’entraide, notamment lors de l’invasion Mauritanienne en terre Castillane.
Sonnet 100 : Les troupes d’invasion sont énormes. Camoes évoque la reine légendaire de Babylone, Sémiramis, celle qui créa Babylone et ses fameux jardins suspendus. L’Hydapse décrit est l’actuel Jhelum (Inde & Pakistan). Les Sarrasins se rassemblent dans le Tartèse (Andalousie).
Sonnet 101 : Alphonse XI de Castille est dépassé par l’armée imposante de l’ennemi sarrasin. Il envoie Marie-Constance, sa femme, pour avoir le soutien d’Alphonse IV du Portugal, qui n’est autre que sa propre fille (que celui-ci a eu avec Béatrice de Castille). Ce n’était pas tout à fait « a caríssima consorte » d’Alphonse XI puisqu’il lui préférait sa maîtresse, Leonor de Guzmán.
Sonnet 102 : Arrivée de la belle Marie-Constance en sanglots devant son père Alphonse IV.
Sonnet 103 : Un rassemblement gigantesque d’armées venues d’Afrique sont derrière le grand Roi du Maroc.
Sonnets 104 & 105 : La supplique de Marie-Constance à son père Alphonse IV. S’il ne vient pas à l’aide d’Alphonse XI de Castille, Marie aura tout perdu.
Sonnet 106 : Camoes compare la demande de Marie à celle de Vénus pour Énée devant Jupiter.
Sonnet 107 : Alphonse IV accepte et regroupe ses forces dans les plaines d’Évora.
Sonnet 108 : Alphonse IV à la tête des troupes lusitaniennes pénètre en Castille avec sa fille Marie-Constance.
Sonnet 109 : 1340 La bataille de Tarifa (Province de Cadix) ou bataille du Salado (30 octobre 1340) se prépare entre les deux Alphonse (IV du Portugal et XI de Castille) face aux armées menées par Abu al-Hasan ben Uthman et Yusuf Ier de Grenade.
Sonnet 110 : Camoes évoque les troupes agaréenne (des descendants d’Agar). Agar, servante d’Abraham donne naissance à Ismaël considéré comme Prophète par les musulmans (Cf. la Sourate Ibrahim). Camoes fait un rapprochement audacieux et fallacieux entre les termes Sarrasins et Sarah. On retrouve couramment cette méprise, par exemple chez Isidore de Séville (VIe et VIIe siècle, Étymologies, IX,2,57.
Sonnet 111 : Comparaison avec David et Goliath. La foi supérieure à la force.
Sonnet 112 : Avec l’aide de Dieu, les Castillans et les Portugais sont prêts à affronter les armées du Roi du Maroc (Abu al-Hasan ben Uthman) et du Souverain de Grenade (Yusuf Ier de Grenade).
Sonnet 113 : Au cœur du combat. 30 octobre 1340, bataille de Tarifa.
Sonnet 114 et Sonnet 115 : Défaite du Río Salado : Alphonse IV bat les armées de Grenade de Yusuf Ier et part ensuite aider son beau-père Alphonse XI de Castille qui lutte encore contre les Mauritaniens et les troupes de Abu al-Hasan ben Uthman.
Sonnet 116 : Camoes fait référence à deux batailles célèbres pour les comparer à la bataille de Salado : la première, la bataille de Verceil où les Romains, menés par le général Marius (157 av. J.-C.- 86 av. J.-C.) écrasèrent les Cimbres, originaire du Jutland, le
30 juillet de l’an 101 av. J.-C., et la Bataille de Cannes (en Italie, Cannæ en Apulie), une des grandes batailles de la deuxième guerre punique où Hannibal Barca et les Carthaginois démantelèrent les troupes de la République Romaine le 2 août 216 av. J.-C. menés par consuls Caius Terentius Varro et Lucius Æmilius Paullus.
Sonnet 117 : Bataille de Salado Seul Titus a tué autant d’âmes. Titus en 70 détruira Jérusalem et incendiera le Temple d’Hérode. Référence à Daniel IX – 26 [26 Et après soixante et deux semaines le Christ sera mis à mort ; et le peuple qui le doit renier ne sera point son peuple. Un peuple avec son chef qui doit venir détruira la ville et le sanctuaire ; elle finira par une ruine entière, et la désolation qui lui a été prédite arrivera après la fin de la guerre. – La Sainte Bible traduite par Lemaistre de Sacy] Le Cocyte : fleuve des Enfers, affluent de l’Achéron ou du Styx.
La Bataille de Verceil (Vercelli) Combat des Cimbres ( originaire du Jutland) et les Romains (mené par Marius (157 av. J.-C.- 86 av. J.-C.) 30 juillet de l’an 101 av. J.-C..
Tableau de Giovanni Battista Tiepolo (1725–1729)
****************
« Não matou a quarta parte o forte Mário « Le puissant Marius à Verceil ne tua pas un quart Dos que morreram neste vencimento, De ceux qui moururent ici de toutes parts, Quando as águas co’o sangue do adversário Quand dans les eaux par l’adversaire ensanglantés, Fez beber ao exército sedento; Il fit boire son armée assoiffée ; Nem o Peno asperíssimo contrário Ni le rugueux Carthaginois dans sa haine Do Romano poder, de nascimento, De toujours contre la puissance Romaine, Quando tantos matou da ilustro Roma, Quand il massacra tant de soldats de l’illustre Rome, Que alqueires três de anéis dos mortos toma. Que trois boisseaux ne pouvaient contenir les anneaux des morts.
*****
LES LUSIADES CHANT 3
*** ALPHONSE XI DE CASTILLE (13 août 1311 Salamanque – 26 mars 1350 Gibraltar) Le Justicier – El Justiciero
Alphonse XI de Castille Alfonso XI Peinture de Francisco Cerdá de Villarestan Musée du Prado – Madrid
****
Marie-Constance de Portugal Femme d’Alphonse XI de Castille (1328)
Fille d’Alphonse IV du Portugal et de Béatrice de Castille
(1313 – 1357)
Alphonse XI préférait sa maîtresse Leonor de Guzmán à Marie-Constance (celle-ci assassina Leonor à la mort d’Alphonse XI)
*******
Alphonse IV Le Brave ( Lisbonne – ) Roi de Portugal et de l’Algarve par la grâce de dieu
Alphonse IV Alfonso IV Peinture du XVIIIe siècle
********************
LES LUSIADES CHANT 3
*
Précisions historiques
et
Retour sur les versets précédents
Sonnet 1 à Sonnet 94 : la naissance du Portugal – Règnes d’Alphonse I, Sanche I, Alponse II et Sanche II. Le sonnet 94 évoque la passation de pouvoir de Sanche II à Alphonse III en 1247, un an avant la mort de Sanche II. Sonnet 94 : nous partons pour les 32 années de règne d’Alphonse III qui nous conduirons jusqu’en 1279, date du nouveau règne de Denis Ier.
Sonnet 95 : Camoes évoque les prises guerrières d’Alphonse III en Algarve sur les Maures.
Sonnet 96 : le règne de Denis Ier- Second fils d’Alphonse III. Son règne s’étalera de 1279 à sa mort, le 7 janvier 1325. Il nomme déjà son successeur Alphonse IV Le Brave qui règnera 32 ans de 1325 à 1357. Denis Ier va pacifier son pays – Poète et troubadour, il laissera de nombreux cantigas : cantigas de amor, cantigas de amigo, cantigas de escarnio y maldecir.
Sonnet 97 : création de l’Université de Coimbra sur les bords du Mondego -A Leiria, Denis Ier signera le Scientiae thesaurus mirabilis. L’université de Coimbra est créée en 1290.
Sonnet 98 : Denis Ier reconstruit et renforce son pays. Atropos, une des trois Moires, coupe son fil de vie en 1325. (les 3 Moires : Clotho, celle qui tisse le fil de la vie, Lachésis, celle qui déroule et qui répare le fil et la dernière Atropos, celle qui coupe). Voici venu le règne d’Alphonse IV.
Les Moires
Francisco de Goya 1820-1823 Musée du Prado – Madrid
Sonnet 99 : la traditionnelle opposition entre les Castillans et les Lusitaniens. Mais celle-ci n’empêche pas la solidarité et l’entraide, notamment lors de l’invasion Mauritanienne en terre Castillane.
Sonnet 100 : Les troupes d’invasion sont énormes. Camoes évoque la reine légendaire de Babylone, Sémiramis, celle qui créa Babylone et ses fameux jardins suspendus. L’Hydapse décrit est l’actuel Jhelum (Inde & Pakistan). Les Sarrasins se rassemblent dans le Tartèse (Andalousie).
Sonnet 101 : Alphonse XI de Castille est dépassé par l’armée imposante de l’ennemi sarrasin. Il envoie Marie-Constance, sa femme, pour avoir le soutien d’Alphonse IV du Portugal, qui n’est autre que sa propre fille (que celui-ci a eu avec Béatrice de Castille). Ce n’était pas tout à fait « a caríssima consorte » d’Alphonse XI puisqu’il lui préférait sa maîtresse, Leonor de Guzmán.
Sonnet 102 : Arrivée de la belle Marie-Constance en sanglots devant son père Alphonse IV.
Sonnet 103 : Un rassemblement gigantesque d’armées venues d’Afrique sont derrière le grand Roi du Maroc.
Sonnets 104 & 105 : La supplique de Marie-Constance à son père Alphonse IV. S’il ne vient pas à l’aide d’Alphonse XI de Castille, Marie aura tout perdu.
Sonnet 106 : Camoes compare la demande de Marie à celle de Vénus pour Énée devant Jupiter.
Sonnet 107 : Alphonse IV accepte et regroupe ses forces dans les plaines d’Évora.
Sonnet 108 : Alphonse IV à la tête des troupes lusitaniennes pénètre en Castille avec sa fille Marie-Constance.
Sonnet 109 : 1340 La bataille de Tarifa (Province de Cadix) ou bataille du Salado (30 octobre 1340) se prépare entre les deux Alphonse (IV du Portugal et XI de Castille) face aux armées menées par Abu al-Hasan ben Uthman et Yusuf Ier de Grenade.
Sonnet 110 : Camoes évoque les troupes agaréenne (des descendants d’Agar). Agar, servante d’Abraham donne naissance à Ismaël considéré comme Prophète par les musulmans (Cf. la Sourate Ibrahim). Camoes fait un rapprochement audacieux et fallacieux entre les termes Sarrasins et Sarah. On retrouve couramment cette méprise, par exemple chez Isidore de Séville (VIe et VIIe siècle, Étymologies, IX,2,57.
Sonnet 111 : Comparaison avec David et Goliath. La foi supérieure à la force.
Sonnet 112 : Avec l’aide de Dieu, les Castillans et les Portugais sont prêts à affronter les armées du Roi du Maroc (Abu al-Hasan ben Uthman) et du Souverain de Grenade (Yusuf Ier de Grenade).
Sonnet 113 : Au cœur du combat. 30 octobre 1340, bataille de Tarifa.
Sonnet 114 et Sonnet 115 : Défaite du Río Salado : Alphonse IV bat les armées de Grenade de Yusuf Ier et part ensuite aider son beau-père Alphonse XI de Castille qui lutte encore contre les Mauritaniens et les troupes de Abu al-Hasan ben Uthman.
Sonnet 116 : Camoes fait référence à deux batailles célèbres pour les comparer à la bataille de Salado : la première, la bataille de Verceil où les Romains, menés par le général Marius (157 av. J.-C.- 86 av. J.-C.) écrasèrent les Cimbres, originaire du Jutland, le
30 juillet de l’an 101 av. J.-C., et la Bataille de Cannes (en Italie, Cannæ en Apulie), une des grandes batailles de la deuxième guerre punique où Hannibal Barca et les Carthaginois démantelèrent les troupes de la République Romaine le 2 août 216 av. J.-C. menés par consuls Caius Terentius Varro et Lucius Æmilius Paullus.
« Mas entre tantas palmas salteado « Mais parmi tant de succès, il succombe Da temerosa morte, fica herdeiro A la téméraire mort, laissant un héritier,…
« E se tantos troféus do Mahometa « Et si tant de trophées face au Mahométan Alevantando vai, também do forte Il remporte, aussi pour ce qui en est du fougueux…
« Mas a formosa armada, que viera « Mais cette grandiose armée, qui était arrivée Por contraste de vento àquela parte, Forcée par des vents contraires,…
Sancho Primeiro Sanche Ier Succède à son père Alphonse Ier sur le trône, devenant ainsi le second Roi du Portugal Règne de 1185 – 1211 Sancho I de Portugal, quarto filho de Afonso Henriques Sucedeu o seu pai no trono, tornando-se assim no segundo Rei de Portugal
******
Gui de Lusignan Roi de Jérusalem de 1186 à 1192
*******
« Passavam a ajudar na santa empresa « Ces troupes se dirigeaient pour renforcer la sainte croisade O roxo Federico, que moveu De Frédéric Barberousse, qui, à l’aide…