É noite pura e linda. Abro a minha janela La nuit est pure et belle. J’ouvre ma fenêtre E olho suspirando o infinito céu, Et mes yeux en soupirant dans le ciel infini,..
LITTÉRATURE PORTUGAISE POÉSIE PORTUGAISE LITERATURA PORTUGUESA POESIA PORTUGUESA
****** TRADUCTION JACKY LAVAUZELLE ******
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LA HAINE ? Ódio? Poème paru dans « Livro de Sóror Saudade« 1923
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Ódio por Ele? Não… Se o amei tanto, De la haine pour lui ? Non … Si je l’ai aimé autant, Se tanto bem lhe quis no meu passado, Si tant de bien dans mon passé je lui voulais,…
Minh’alma, de sonhar-te, anda perdida. Mon âme, rêvant de toi, s’est perdue. Meus olhos andam cegos de te ver. Mes yeux sont devenus aveugles de te voir…
LITTÉRATURE PORTUGAISE POÉSIE PORTUGAISE LITERATURA PORTUGUESA POESIA PORTUGUESA
****** TRADUCTION JACKY LAVAUZELLE ******
Poème paru dans « Charneca em Flor » 1930
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Les cendres grises de mon âme (JE) EU
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Até agora eu não me conhecia, Jusqu’à présent, je ne me connaissais pas julgava que era Eu e eu não era Je pensais que j’étais Moi et que je n’étais pas…
Una copla es una composición poética que, por lo general, consiste en cuatro versos (usualmente octosílabos). Une copla est une composition poétique composée généralement de quatre versets (généralement octosyllabique). La copla se retrouve dans de nombreuses chansons populaires espagnoles ainsi que dans la littérature de langue espagnole.
LITTÉRATURE ESPAGNOLE POÉSIE ESPAGNOLE LITERATURA ESPAÑOLA POESÍA ESPAÑOLA
Augusto Ferrán AUGUSTO FERRAN Y FORNIES poeta español Madrid 27 juillet 1835 – Madrid 2 avril 1880 Madrid, 27 de julio de 1835 – Madrid, 2 de abril de 1880 ******************
LA SOLEDAD LA SOLITUDE Recueil 1860 – 1861
I
Las fatigas que se cantan Les fatigues que l’on chante son las fatigas más grandes, sont les plus grandes fatigues,..
II
Al ver en tu sepultura Voir sur ta tombe las siemprevivas tan frescas, ce feuillage persistant si frais,..
III
Los mundos que me rodean Les mondes qui m’entourent…
IV
Los que la cuentan por años Nombreux depuis des années..
VI
Pasé por un bosque y dije: J’ai traversé la forêt et dis : «aquí está la soledad…» « la voici la solitude... »…
VII
Dos males hay en el mundo Deux maux dans le monde que es necesario vencer:…
IX
Yo me marché al campo santo Je suis allé au cimetière y a voces llamé a los muertos, et appelé les morts..
XV
La muerte ya no me espanta; La mort ne me fait plus peur ; tendría más que temer j’aurais plus à craindre… .
XVI
Si mis ojos no te dicen Si mes yeux ne te disent pas …
XVIII
Yo no sé lo que yo tengo, Je ne sais ce que je veux..
XXI
De mirar con demasía A trop chercher…
XXII
Si me quieres como dices, Si tu me veux, comme tu le dis…
XXIII
No os extrañe, compañeros, Ne soyez pas surpris, mes amis, que siempre cante mis penas, que je chante toujours mes peines,…
XXIV
Hace ya muy largos años Depuis longtemps…
XXVI
Mirando al cielo juraste En regardant le ciel, tu as juré…
XXIX
Tu aliento es mi única vida, Ton souffle est ma seule vie,…
XXX
Del fuego que por tu gusto Du feu que pour toi …
XXXI
Pobre me acosté, y en sueños pauvre je me suis endormi et dans mes rêves …
XXXII
¿Cómo quieres que yo queme comment veux-tu que je brûle …
XXXIII
El pájaro que me diste, L’oiseau que tu m’as donné,…
XXXVI
Si os encontráis algún día Si un jour tu te trouves…
XXXVII
Sé que me voy a perder Je sais que je vais me perdre…
XXXXVIII
Tengo deudas en la tierra, J’ai des dettes sur terre, y deudas tengo en el cielo: et des dettes dans le ciel :…
XXXIX
En sueños te contemplaba Dans mes rêves, je t’ai contemplée dentro de la oscuridad, au cœur de l’obscurité, …
Todo comenzó a brillar, Tout a commencé à briller…
XLI
Antes piensa y después habla, Penser avant et parler après,…
XLII
Entre un rosal y una zarza Entre un rosier et un buisson…
XLIV
Cuando se llama a una puerta Quand on appelle à une porte…
LII
El querer es una hoguera La volonté est un feu de joie..
LIII
«Desde Granada a Sevilla, « De Grenade à Séville, …
LIX
¡Ay pobre de mí, que a fuerza Ah ! Pauvre de moi, qui à force…
LX
Ánimo, corazoncito, Courage, mon cœur,…
LVI
En el cielo hay una estrella Il y a dans le ciel une étoile…
LVII
Levántate si te caes, Relève-toi si tu tombes…
LIX
Por la noche pienso en ti, La nuit je pense à toi…
Vivirá en mí tu memoria, Ta mémoire vivra en moi, …
LX
Me desperté a media noche, Je me suis réveillé à minuit, …
LXI
Yo me asomé a un precipicio J’ai regardé un précipice…
LXII
Me han dicho que hay una flor, On m’a dit qu’il existait une fleur,…
LXIII
Las pestañas de tus ojos Les cils de tes yeux…
LXI
Yo no podría sufrir Je ne pourrais souffrir…
LXVI
Los cantares que yo canto Les chansons que je chante…
LXVII
No vayas tan a menudo Ne pars pas si souvent…
LXVIIII
Niño, moriste al nacer; Enfant, mort à la naissance ;…
LXX
Cada vez que sale el sol Chaque fois que le soleil se lève…
LXXIV
Te he vuelto a ver, y no creas Je t’ai revue et je ne crois pas…
LXXV
Sé que me vas a matar Je sais que tu vas me tuer… en vez de darme la vida:
LXXVI
Yo me he querido vengar Je voulais me venger …
LXXVIII
En lo profundo del mar Dans les profondeurs de la mer…
LXXXI
Escuchadme sin reparo; Ecoute bien ceci :…
LXXXII
Ni en la muerte he de encontrar Même dans la mort je ne trouve ….
LXXXIII
En verdad, dos son las cosas En vérité, deux choses …
LXXXV
Cuando el reloj da las horas, Quand l’horloge donne les heures, …
Y el pobre que anda despacio, Et le pauvre, qui lentement marche,…
XCI
Dices que hablo mal de ti, Tu dis que je parle mal de toi,…
XCIII
Morid contentos, vosotros Meurs heureux, toi…
XCVIII
Cuanto más pienso en las cosas, Plus je pense aux choses…
CV
Cuando te mueras te haré Quand tu mourras je te ferai …
CXVII
Ahora que me estás queriendo, Maintenant que tu m’aimes…
CXVIII
La noche oscura ya llega; La nuit noire arrive ;…
CXXV
A la luz de las estrellas A la lumière des étoiles …
CXXII
Tenía los labios rojos, Ses lèvres étaient rouges, …
CXXXI
Si yo pudiera arrancar Si je pouvais arracher …
CXXXIII
¡Ay de mí! Por más que busco Pauvre de moi ! Plus je cherche …
CXXXVIII
Guárdate del agua mansa, Méfiez-vous de l’eau douce,…
CXL
Caminando hacia la muerte En marchant vers la mort…
CXLII
Todo hombre que viene al mundo Tout homme qui vient au monde …
CXLIV dernier copla
Los que quedan en el puerto Ceux qui restent au port…
Traduction – Texte Bilingue
Erik Axel Karlfeldts dikter Dina ögon äro eldar KARLFELDT
LITTERATURE SUEDOISE
POESIE SUEDOISE
svensklitteratur
svensk poesi –
Erik Axel Karlfeldt 1864 – 1931
Traduction Jacky Lavauzelle
Fridolins Lustgård och Dalmålningar på rim
Le Jardin de Fridolin
&
Peintures Dalécarliennes en vers
1901
– Dina ögon äro eldar
– Tes Yeux sont des Feux
*
Dina ögon äro eldar och min själ är beck och kåda. Tes yeuxsont des feux, et mon âmeestune mèche. Vänd dig från mig, förr’n jag tändes som en mila innantill! Détourne-toi de moi, avant qu’elle ne prenne feu En fiol jag är med världens alla visor i sin låda, Un violon, voilà ce que je suis avectoutes les chansons du monde danssa boîte, du kan bringa den att spela, hur du vill och hvad du vill. Tu peux lui faire jouer, ce que tu veux et comment tu le veux.
*
Vänd dig från mig, vänd dig till mig! Jag vill brinna, jag vill svalna. Détourne-toi demoi,retourne-toi vers moi ! Je veuxbrûler, jeveux me refroidir. Jag är lust och jag är längtan, gränsbo mellan höst och vår. Je suis luxure et jesuisdésir, à la limite entre l’automneet le printemps. Spända äro alla strängar, låt dem sjunga, rusigt galna. Tendues sonttoutes les cordes, laisse-leschanter et vibrer follement. i en sista dråplig högsång alla mina kärleksår. dans un dernier chant grandiose tout ce temps d’amour.
*
Vänd dig till mig, vänd dig från mig! Som en höstkväll låt oss brinna; Retourne-toi versmoi,détourne-toi de moi!Commeun soir d’automne,brûlons ; stormens glädje genomströmmar vårt banér av blod och gull —
la tempêtede joieenvahitnotre bannièrede sanget d’or– till det lugnar och jag ser i skymning dina steg försvinna, le calme revenu, je vois enfin dansle crépusculetes pas disparaître, du, den sista som mig följde för min heta ungdoms skull. toi, la dernière qui suivait ma jeunessebrûlante.
One that is ever kind said yesterday: Une femme qui a toujours été bienveillante m’a déclaré hier: “Your well beloved’s hair has threads of grey, « Les cheveux de votre bien-aiméeont des filsgris, And little shadows come about her eyes; Et de petites ombresapparaissent autour de sesyeux; Time can but make it easier to be wise, Le temps ne peut querendre plus faciled’être sage, Though now it’s hard, till trouble is at an end;
Bien que maintenant ce soit difficile, jusqu’à ce que ce que le trouble se termine ; And so be patient, be wise and patient, friend.” Maissois patient, sois sage etpatient,ami.« But heart, there is no comfort, not a grain; Mais pour le cœur, il n’y a pas de réconfort,pas un grain; Time can but make her beauty over again: Le temps peutfaire que sa beautérenaisse : Because of that great nobleness of hers; En raison de cettegrande noblessequi est la sienne; The fire that stirs about her, when she stirs Le feu qu’elle suscite autour d’elle, quand elle se meut, Burns but more clearly. O she had not these ways,
N’en brûlera que plus clairement. Oelle n’avaitpascesmanières When all the wild Summer was in her gaze.
Quand toute l’ardeur de l’étéétaitdansson regard. O heart! O heart! If she’d but turn her head, O cœur!Ocœur!Si elle tournait la tête, You’d know the folly of being comforted. Tu saurais la folied’êtreréconforté.
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VERSION 1933
One that is ever kind said yesterday: Une femme qui a toujours été bienveillante m’a déclaré hier: “Your well beloved’s hair has threads of grey, « Les cheveux de votre bien-aiméeont des filsgris, And little shadows come about her eyes; Et de petites ombresapparaissent autour de sesyeux; Time can but make it easier to be wise, Le temps ne peut querendre plus faciled’être sage, Though now it seems impossible, and so Bien que maintenant cela semble impossible, et ainsi All that you need is patience.’ Tout ce dont vous avez besoin : c’estla patience. « Heart cries, `No,
Le cœur crie : `Non, I have not a crumb of comfort, not a grain. Je n’ai pasune miette de réconfort,pas un grain. Time can but make her beauty over again: Le temps peutfaire que sa beautérenaisse : Because of that great nobleness of hers
En raison de cettegrande noblessequi est la sienne The fire that stirs about her, when she stirs, Le feu qu’elle susciteautour d’elle,quand ellese meut, Burns but more clearly. O she had not these ways N’en brûlera que plus clairement. Oelle n’avaitpascesmanières When all the wild summer was in her gaze.’
Quand toute l’ardeur de l’étéétaitdansson regard. »
O heart! O heart! If she’d but turn her head,
O cœur!Ocœur!Si elle tournait la tête, You’d know the folly of being comforted. Tu saurais la folied’êtreréconforté.