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Guifred le Velu – Wifredo el Velloso – Plaza de Oriente Madrid Мадрид – 马德里 – Place de l’Orient

Madrid – Мадрид – 马德里
Wifredo el Velloso
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Madrid Blason Artgitato  Madrid L'Ours & L'arbousier Artgitato La estatua del oso y del madroño

Photos Jacky Lavauzelle
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Madrid Drapeau Artgitato


PLAZA DE ORIENTE
La place de l’Orient
Плаза-де-Ориенте

Guifred le Velu
Wifredo el Velloso

Guifré el Pilós
840-897

Fils de Sunifred Ier de Barcelone
Comte d’Urgell et de Cerdagne (870-897)
Hijo de Sunifredo de Urgel – Conde de Urgel y de la Cerdaña

Guifred le Velu Wilfredo el Velloso Guifre el Pilos Plaza de Oriente Madrid Artgitato

L’EXCEPTION DU COMTE D’URGELL

« Le plus ancien texte qui nous montre le service de guerre dû à un particulier est un acte de l’an 954. Ce service y est représenté comme condition de l’inféodation de certains châteaux. Il est dû par le feudataire envers et contre tous, à l’exception du comte d’Urgel, suzerain supérieur. Cet acte, dont les termes sont les mêmes que ceux des actes du XIIe siècle, offre déjà l’énumération des différentes formes du service militaire féodal, l’hostis, la cavalcata, et l’obligation de rendre les châteaux forts à la première réquisition. »

Charles-Victor Langlois
Histoire du Moyen Âge
1901 pp. 181-210
Chapitre VII – La Féodalité

Rotlle-genealogic-guifre-I-de-barcelona Guifred le Velu - Wifredo el Velloso

Rotlle genealògic del Monestir de Poblet
Reial Monestir de Santa Maria de Poblet

Arbre généalogique Rouleau du monastère de Poblet
Abbaye de Poblet – abbaye cistercienne
Rollo genealógico del Monasterio de Poblet
Real Monasterio de Santa María de Poblet 

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EVENEMENTS ENTRE 870 & 897

870. Louis le Germanique dispute la Lorraine à Charles le Chauve, qui la partage avec lui, par le traité de Mersen, qui donne à la France la Meuse pour limite. La Lorraine, dès ce moment, devint une source de guerres perpétuelles entre les Gallo-Francs et les Allemands d’outre-Rhin. — Les troupes de Charles le Chauve occupent la Provence, dont Lothaire avait obtenu une portion en 863- Résistance de Gérard de Roussillon, comte de Provence, qui défendait ces pays au nom de l’empereur Louis IL Ottfried, moine et instituteur au couvent de Weissembourg, en Alsace, est le premier poète ou versificateur connu des Allemands. Son Harmonie des S. Evangiles est écrite en strophes de quatre vers.
871. L’empereur Louis II est fait prisonnier dans son palais par le duc de Bénévent, qu’il avait secouru contre les Sarrasins, mais que commençaient à effrayer les progrès des Francs. Il est ensuite rendu à la liberté. Alfred le Grand succède à Ethelred, roi d Angleterre. Il défend ce royaume contre les Danois, qui occupent tout le pays des Anyles.
872. Louis le Germanique rend à Louis II une partie de la Lorraine. Jean VIII, pape.
873. Charles le Chauve achète la retraite des Normands. La France est un peu moins tourmentée par ces barbares. Charles le Chauve fait emprisonner son fils Carloman, révolté contre lui. Malgré les prières d’Hincmar, archevêque de Reims, et les lettres hautaines du pape Adrien II, il lui fait arracher les yeux. Yakoud, fils de Sonar, fonde dans le Khorasan la dynastie des Soffarides, qui remplace celle des Tahériens. Elle régna 30 ans sur le Ségestan, le Tabristan et le Khorasan.
874. Les Sorabes sont repoussés par Louis le Germanique. Alphonse le Grand fait éprouver une grande défaite aux Tolédains, près de la rivière d’Orbedo.
875. Mort de l’empereur Louis II. Charles le Chauve réclame son héritage. Il envahit l’Italie, force à la retraite les fils de Louis le Germanique et se fait couronner empereur à Rome par le pape Jean VIII. — Louis le Germanique reprend alors sa part de la Lotharingie, et la veuve de Louis II, Angilberge, aidera son gendre Boson à se faire roi de Provence.
876. 2e couronnement de Charles le Chauve à Pontyon. L’Italie est de nouveau dévastée par les Sarrasins, et la France par les Normands. Mort de Louis le Germanique. Charles le Chauve réclame ses États. Il est vaincu près d’Andernach par Louis de Saxe, fils de Louis le Germanique. La Germanie reste indépendante et forme 3 royaumes partagés entre les fils de Louis : 1° royaume de Bavière à Carloman l’aîné; 2nd royaume de Saxe à Louis; 3e royaume de Souabe à Charles le Gros. Prise de Rouen par les Normands. Prise de Coïmbre par Alphonse III.
877. La faiblesse de Charles le Chauve augmente avec l’extension de sa domination. Il est appelé par le pape en Italie pour s’opposer aux Sarrasins. Avant d’entreprendre cette expédition, il tient à Quierci-sur-Oise une grande assemblée, où il publie ce fameux capitulaire, d’où l’on peut dater la révolution féodale : « 1° Si quelqu’un de nos fidèles, saisi d’amour pour Dieu, veut renoncer au siècle, et s’il a un fils ou tel autre parent capable de servir la chose publique, qu’il soit libre de lui transmettre ses bénéfices et honneurs comme il lui plaira; 2° si un comte de ce royaume vient à mourir, nous voulons que les plus proches parents du défunt, les autres officiers du comté et les évêques du diocèse pourvoient à son administration, jusqu’à ce que nous ayons pu confier à son fils les honneurs dont il était revêtu. » Charles le Chauve passe en Italie, rencontre à Pavie le pape, et confère avec lui; mais apprenant l’arrivée de Carloman, roi de Bavière, avec une armée considérable, pour réclamer ses droits sur l’Italie, il reprend la route de France, et meurt à Brios, village situé en deçà du mont Cenis. Louis le Bègue, fils de Charles le Chauve, lui succède. L’autorité de ce prince ne s’étend ni sur l’Italie ni sur la Lorraine. — Alain le Grand la secoue en Bretagne, et Sanche Mitarra en Gascogne. — Son cousin Carloman, fils aîné de Louis le Germanique, lui dispute l’Italie. Alfred le Grand, après avoir livré jusqu’à 7 batailles aux Danois, est forcé de prendre la fuite, et de se tenir caché dans la cabane d’un berger pendant toute une année.
878. Alfred, roi d’Angleterre, ayant appris la défaite des Danois à Kinwith, sort de sa retraite, va reconnaître lui-même le camp ennemi, où il entre déguisé en ménestrel, lève une armée, et par une seule bataille recouvre son royaume; puis, après avoir conclu avec Gurthorm, chef danois, un traité qui établit ce dernier roi d’Estanglie, comme vassal, il fait creuser, pour prévenir de nouvelles irruptions des Danois, un large fossé, qui s’étend depuis les marais situés au N. jusqu’à la rivière d’Ouse. Les Sarrasins contraignent le pape Jean VIII à leur payer tribut. — Violences dans Rome d’Adal- bert, duc de Toscane, et de Lambert, duc de Spolète, partisans de Carloman de Bavière. Jean VIII s’enfuit en France, où il couronne le roi Louis le Bègue, qui l’avait été l’année précédente par Hincmar, de Eeims; ce prince se réconcilie avec son cousin, Louis de Saxe. Les Sarrasins achèventla conquête de la Sicile par la prise et la destruction de Syracuse. Ils renversent les fortifications de toutes les villes, excepté de Païenne, dont ils font leur place d’armes.
879. Louis le Bègue se met en marche pour aller châtier la révolte de Bernard, marquis de Septimanie. Il est arrêté par la mort à Compiègne. — Avènement de ses 2 fils Louis III et Carloman — Ambition de Boson, beau-frère de Charles le Chauve, qui se fait élire roi d’Arles ou de Provence dans une assemblée d’évêques tenue à Mantaille. Le pape Jean VI II demande et obtient des secours de l’empereur Basile le Macédonien contre les Sarrasins , qui ravagent l’Italie. Sur la demande de l’empereur Basile, Jean VIII reconnaît Photius comme patriarche de Constantinople. — Jean VIII autorise saint Méthodius, apôtre des Moraves et des Slaves, à employer la langue esclavone pour la célébration de l’office divin. Fondation en Egypte de la dynastie des Toulonides par Ahmed, fils de Toulon, gouverneur de cette contrée.
880. Louis et Carloman cèdent à Louis de Saxe, 2e fils de Louis le Germanique, la partie de la Lorraine qu’ils tenaient de Charles le Chauve et de Louis le Bègue. Assemblée de Gondreville, où Carloman, Louis III et Charles le Gros, roi de Souabe, s’allient contre les Normands et Boson, roi de Provence, qui est vaincu, mais non soumis. Mort de Carloman, roi de Bavière. La Bavière est réunie à la Saxe. Un fils bâtard de Carloman, Arnoul, a la Carinthie. — Charles le Gros est couronné roi d’Italie.
881– Charles le Gros vient prendre à Rome la couronne impériale. Louis III gagne sur les Normands une grande bataille à Jaucourt en Vimeu, dans le bassin de la Somme. Cette victoire a été célébrée par un chant national.
882. Louis III meurt à Saint-Denis, sans laisser d’enfants ; Carloman règne seul sur toute la France. — Charles le Gros succède à son frère Louis dans le royaume de Saxe. Les Normands s’emparent de Trêves qu’ils réduisent en cendre. Ils saccagent Liège, Cologne et plusieurs autres villes. Charles le Gros achète leur retraite par un tribut honteux et par la cession de la Frise occidentale, à Godefroy, qui em- brasse le christianisme. — Conversion du chef normand Hastings, qui reçoit le comté de Chartres. Mort d’Hincmar, archevêque de Reims. Les princes varègues de Kiev, Dir et Oskhold, qui s’étaient fait baptiser, sont assassinés par Oleg, tuteur du fils de Rurik, Igor. Oleg occupe Kiev, qui devient le siège de la domination russe.
884. Carloman, roi de France, meurt à la chasse, blessé par un sanglier. Charles le Gros, lui succède, au préjudice de Charles le Simple, fils posthume de Louis le Bègue, et réunit ainsi entre ses mains tout l’empire de Charlemagne. Adrien III, pape.
885. Charles le Gros fait difficulté de reconnaître le pape Etienne V, successeur d’Adrien III, parce qu’on n’a pas attendu son consentement pour la consécration de l’élu.
886. Les Normands, conduits par Godefroy et Sigefroy, assiègent Paris pendant une année. Ni l’empereur ni les nobles ne songent à secourir cette ville. Elle est défendue courageusement par Eudes, comte de Paris, et l’évêque Gozlin. Charles le Gros s’approche enfin de Paris, mais sans oser combattre. Honteux traité par lequel il écarte les Normands. Ces barbares font traîner leurs barques par terre, au-dessus de la ville, les remettent à l’eau, et, continuant à remonter la Seine, ils entrent dans l’Yonne et vont dévaster la Bourgogne. Mort de Basile le Macédonien. Son fils Léon VI lui succède. Il chasse Photius du siège patriarcal de Constantinople. Il a composé un traité de tactique.
887. Mort du roi Boson. Honte de Charles le Gros. A la diète de Kirckheim, il accuse son chancelier et sa femme. Les grands indignés le déposent solennellement à la diète de Tribur et lui substituent Arnoul, son neveu, dans le royaume de Germanie. Eudes, comte de Paris, fils de Robert le Fort (v. 866), est élu roi de France.
888. Charles le Gros meurt sans enfants dans une île du Rhin. Partage définitif de son empire; anarchie. Arnoul règne sur la Germanie et la Bavière ; Eudes sur la France occidentale et l’A- quitaine. Louis, fils de Boson, règne sur le royaume d’Arles ou de Provence. Rodolphe, fils de Conrad, fonde le royaume de la Bourgogne transjurane. Guy, duc de Spolète, et Bérenger, duc de Frioul, tous deux issus du sang de Charlemagne par les femmes, se disputent l’Italie. Raynulf, comte de Poitiers, et un grand nombre d’autres seigneurs se rendent indépendants. Organisation de la société féodale. Résistance qu’elle oppose aux Normands; la population commence à s’accroître. Les Normands sont deux fois repoussés de Paris.
889. Vers cette époque, 20 pirates Sarrasins partis d’Espagne sont poussés par la tempête dans le golfe de Grimaud et surprennent le village de Fraxinet, aujourd’hui la Garde-Fraisnet (Var). Ils y forment un établissement qui, pendant près d’un siècle, sera la terreur du midi de la France et du nord de l’Italie. Bérenger rend hommage à Arnoul pour l’Italie, où il reçoit le premier la couronne de fer de Lombardie.
890. Siméon, roi des Bulgares, commence contre l’empire grec une guerre qui durera trois années. Guy, vainqueur de Bérenger à la bataille de la Trébie, se fait couronner roi d’Italie. Vers cette époque, les Hongrois ou Magyars, comme ils s’appelaient du nom d’une de leurs tribus, passent des régions du Volga dans celles de la Theiss et du Danube, sous la conduite d’Arpad, fils d’Almus. A peine sont-ils établis dans ces contrées qu’ Arnoul, roi de Germanie, s’en sert pour ébranler l’empire des Moraves fondé par Swiatopolk. Eudes n’ose pas chasser les Normands des bords de l’Oise qu’ils ravagent. Fin du royaume, d’Estanglie, qu’Edouard le Vieux réunit à ses États.
891. Victoire des Normands sur les troupes de Lorraine, près Maestricht. Arnoul, roi de Germanie , remporte sur eux une grande victoire à Louvain sur la Dyle. Guy détrône Bérenger. Il est couronné roi d’Italie et empereur par le pape Etienne V, avec son fils Lambert qu’il s’associe.
892. Eudes, roi de France, bat les Normands et est cependant forcé de leur accorder des conditions avantageuses pour les engager à la retraite. Le comte Waltgaire se révolte contre lui.
893. Déclin du pouvoir d’Eudes. Les mécontents lui opposent Charles le Simple. L’incapacité de ce prince le fait bientôt abandonner de ses partisans.
894. Eudes marche contre Charles le Simple, qui s’enfuit à Worms et implore le secours d’Arnou qui lui envoie quelques troupes. Mort de Guy, roi d’Italie. Son fils Lambert lui succède. Borziwoi, duc de Bohême, reçoit le christianisme ; il est baptisé par l’évêque de Moravie, Méthodius.
895. Arnoul somme Charles et Eudes de comparaître devant lui à la diète de Worms. Il donne la couronne de Lorraine à son fils naturel Zwentibold. — Il descend en Italie, appelé parle pape Formose contre le jeune Lambert, fils de Guy de Spolète. Il passe les fêtes de Noël à Lucques, où Bérenger vient le trouver. Arnoul retient Béren- ger prisonnier et le dépouille de ses Etats. Le duché de Frioul est donné au comte Waltfred et celui de Milan ou de Lombardie au comte de Maginfred.
896. Arnoul s’empare de Rome et se fait couronner empereur par le pape Formose, mais son échec devant Spolète et la maladie le décident à quitter l’Italie. — Bérenger recouvre ses Etats et fait la paix avec l’empereur Lambert. — Le pape Etienne VI fait le procès à la mémoire de Formose ; il l’exhume, revêt le cadavre d’habits laïcs et lui fait couper la tête et les trois doigts de la main avec lesquels il a béni le peuple. Mais il est bientôt lui-même renversé et périt dans un cachot. A partir de cette époque et pendant plus d’un siècle l’élection des papes, livrée aux caprices de la populace et aux violences de l’aristocratie romaine, se décida parfois les armes à la main, et les candidats durent la tiare, moins à leurs vertus qu’à leur force et à leur audace. Le roi Eudes laisse à son rival, Charles le Sim- ple, les pays qui sont à l’E. de la Seine et de la Marne…

Marie-Nicolas Bouillet
Bouillet – Atlas universel d’histoire et géographie, 1865 (1865)
1865 – pp. 151-158
IXe siècle après Jésus-Christ

 

PLAZA DE ORIENTE – MADRID – PLACE DE L’ORIENT -Плаза-де-Ориенте – 东方广场

Madrid – Мадрид – 马德里
Plaza de Oriente Madrid
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Madrid Blason Artgitato  Madrid L'Ours & L'arbousier Artgitato La estatua del oso y del madroño

Photos Jacky Lavauzelle
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Madrid Drapeau Artgitato


PLAZA DE ORIENTE
La place de l’Orient
Плаза-де-Ориенте
东方广场

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Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Artgitato

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ALPHONSE I des Asturies
 Alphonse le Catholique
Alfonso I de Asturias
Rey de Asturias
ALPHONSE I des Asturies Alfonse I Le catholique Alfonso I de Asturias Artgitati Plaza de Oriente*

ALPHONSE II des Asturies
 Roi des Asturies
 ALFONSO II
 Rey de Asturias
Альфонс II
阿方索二世
ALPHONSE II Alfonso II Rey de Asturias Roi des Asturies Plaza de Oriente Madrid Artgitato

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ALPHONSE III Le Grand
 Roi des Asturies
 ALFONSO III
 Rey de Asturias
Альфонс III
阿方索三世
Alphonse III des Asturies Afonso III de Asturias Plaza de Oriente artgitato

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Ataulphe
Ataulfo
Athaulf
Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Athaulf Ataulfo Roi des Visigoths

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EURIC
EURICO
Эйрих
Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Athaulf eURICO

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Guifred le Velu
 Wifredo el Velloso
 Guifré el Pilós
Guifred le Velu Wilfredo el Velloso Guifre el Pilos Plaza de Oriente Madrid Artgitato

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LEOVIGILDO
LEOVIGILD
Liubagilds
Леовигильд
Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Leovigildo 572 a 586 Léovigild*

Ordoño II de León
 Roi de Galice
Ордоньо II Леона
Ordoño II de León Plaza de Oriente Madrid Artgitato

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El Palacio Real de Madrid
 Le Palais Royal
马德里王宫
Королевский дворец в Мадриде
El Palacio Real de Madrid Le Palais Royal de Madrid Artgitato*

DON PELAYO
 PELAGE LE CONQUERANT
 Rei de Asturias
 Premier Roi des Asturies
佩拉约 – Пелайо
don pelayo rey de asturias Plaza de Oriente Artgitato*
MONUMENTO A FILIPPO IV
Monument à Philippe IV
 roi d’Espagne
 Filippo IV di Spagna
Filippo IV d’Asburgo
西班牙菲利普四世
Филипп IV Испании
Philippe IV Philip_IV_of_Spain Plaza de Oriente Place de l'Orient Artgitato 3

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Ramire Ier d’Oviedo
RAMIRO I de Asturias
Рамиро I
拉米罗我
Ramire Ier d'Oviedo Ramiro I de asturias Roi des Asturies Plaza de Oriente Place de l'Orinet Artgitato
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Swinthila
𐍃𐍅𐌹𐌽𐌸𐌹𐌻𐌰  Swinþila
SUINTILA
Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Suintila Swinthila Artgitato

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Le Théâtre Royal
Teatro Real
Королевский театр в Мадриде
皇家剧院在马德里

Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Le Théâtre Royal Teatro Real 2

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WAMBA
Вамба
万巴

Plaza de Oriente Place de l'orient Madrid Artgitato Wamba

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Création de la place de l’orient sous Joseph Bonaparte, Joseph I d’Espagne
Roi d’Espagne de 1808 à 1813
A quitté par deux fois la capitale Madrid

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Importance du 2 mai 1808 pour la ville de MADRID

« Madrid n’a eu dans le cours de son histoire qu’un jour de véritable initiative, le 2 mai 1808, quand partit de la place du palais, aux premiers indices du complot de Bayonne, ce formidable cri d’insurrection qui devait faire le tour de la Péninsule. Les Madrilègnes venaient de découvrir qu’il s’agissait, cette fois, de l’existence même du trône, et c’est le seul point sur lequel leur politique, d’ailleurs si accommodante, ne saurait transiger. Madrid comprend instinctivement qu’il n’a qu’une vie factice, et que la présence de la cour, les étrangers qu’elle appelle, le luxe qu’elle fomente, peuvent seuls remplacer pour lui les élémens de prospérité dont le déshérite sa position. Le sentiment monarchique, qui tendit constamment chez nous à se réfugier vers les extrémités, a ainsi chez nos voisins sa plus forte raison d’être au centre. N’est-ce pas là ce qui explique en partie comment la royauté espagnole a si énergiquement résisté aux mêmes secousses qui, trois fois, ont renversé la royauté française ? Siégeant au foyer même des révolutions, celle-ci se trouvait d’avance cernée et paralysée, tandis que celle-là, au milieu de sa capitale fidèle, a toujours pu garder la liberté de ses mouvemens. »

Madrid et les Madrilènes
Gustave d’Alaux
Revue des Deux MondesT. 5 1850

CréatC