Archives par mot-clé : Twenty-four Paragons of Filial Piety in China

THEAN HOU TEMPLE KUALA LUMPUR 二十四孝 Twenty-four Paragons of Filial Piety in China

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二十四孝
Twenty-four Paragons of Filial Piety in China
Les 24 modèles de piété filiale en Chine
黃庭堅
天后宫

 

 




 

 

THEAN HOU TEMPLE
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Les 24 enfants Chinois exemplaires
The Twenty-four Chinese Filial Exemplars
Histoire 24 – story 24
二十四孝


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天后宫
Thean Hou Temple

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二十四孝

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TABLEAU 1

YU SUN
虞 舜

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TABLEAU 8
董永
DONG YONG

Dynastie des Han de l’Est

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TABLEAU 11
陸績
LU JI Le Voleur d’oranges
188-219
(188年-219年)

Dynastie des Han de l’Est

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TABLEAU 23
朱寿昌
Zhu Shouchang – Shu Jushô
1014 – 1083
(1014年-1083年)

Haut fonctionnaire du XIe siècle
Dynastie des Song du Nord (960-1127) 

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TABLEAU 24
HUANG TINGJIAN
黃庭堅

1045-1105

Poète et Calligraphe du XIe siècle
Dynastie des Song du Nord (960-1127) 

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LES ENTRETIENS DE CONFUCIUS

 » Lou Tzeu dit : « Parmi les hommes naturellement enclins à respecter leurs parents, à honorer ceux qui sont au-dessus d’eux, peu aiment à résister à leurs supérieurs. Un homme qui n’aime pas à résister à l’autorité, et cependant aime à exciter du trouble, ne s’est jamais rencontré. Le sage donne son principal soin à la racine. Une fois la racine affermie, la Voie peut naître. L’affection envers nos parents et le respect envers ceux qui sont au-dessus de nous sont comme la racine de la vertu. » (traduction Séraphin Couvreur – I-2  -Les Entretiens de Confucius 孔子)

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二十四孝

Twenty-four Paragons of Filial Piety in China
Les Vingt-quatre modèles de piété filiale chinoise

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黃庭堅 Huang Tingjian 1045–1105 Poète et Calligraphe du XIe Siècle 二十四孝

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HUANG TINGJIAN
黃庭堅

1045-1105

Poète et Calligraphe du XIe siècle
Dynastie des Song du Nord (960-1127)

 

Huang Tingjian 黃庭堅 est né en 1045 dans la ville de Jiujiang 九江市 dans la province de Jiangxi 江西省.  Jiujiang se trouve à l’ouest, d’une des plus belles montagnes de Chine, classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco, le mont Lu 庐山.
Cette année 1045 voit l’achèvement en Chine du long affrontement des Song et des Tangoutes de la dynastie des Xia occidentaux 西夏. C’est un an avant sa naissance que les deux camps signèrent un accord de paix , où les Tangoutes, en échanges de leur obéissance, reçurent des versements réguliers de taels d’argent, de thé et de soieries diverses. De nouveaux échanges seront désormais possibles entre les deux belligérants.
Mais la période où vécut Huang Tingjian ne fut pas qu’une longue période pacifique. En 1074, une famine ravage la Chine et notamment les terres du Nord qui conduit à des mouvements importants de la population de ces contrées vers le sud.
Dès sa trentième année, en 1075, pendant deux ans, les Song rentrèrent en conflit avec la Dynastie Lý (nhà Lý – dynastie Vietnamienne qui dura 216 ans de 1009-1225).
La vie de Huang Tingjian est liée à deux autres grandes personnalités de cette époque : le conservateur Su Shi  苏轼, écrivain, peintre et calligraphe, et Wang Anshi 王安石 (1021-1086) le grand réformateur de la fiscalité, de l’enseignement. Wang reste sous la protection de l’empereur Shenzong (1048-1085) – 宋神宗赵顼(1048年5月25日-1085年4月1日). Mais les réformes entraînent une paupérisation de nombreux paysans et un fort mécontentement.
Su Shi, lui, naquit en 1037, quelques années avant Huang Tingjian, et qui mourut à l’aube du XIIème siècle, en 1101. Dans cette fin du XIe siècle, correspond le règne de l’empereur Song Zhezong 宋哲宗(1077年1月4日-1100年2月23日) et qui régna à partir de 1085. Avant cette date, le conservateur Su Shi est écarté dans les années 70 et exilé ensuite. Le règne de Song Zhezong le raménera aux affaires centrales.

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Calligraphie 书法 de Huang Tingjian :

24
Cerita kedua puluh empat ketaatan anak membasuh bekas najis ibu.
Huang Tingjian hidup pada Dinasti Song Utara. Beliau sangat mentaati dan menjaga ibu walaupun beliau seorang pegawai kerajaan yang berpangkat tinggi. Setiap malam, beliau akan mencuci bekas najis ibu dan menunaikan tanggungjawab belrau sebagai anak lelaki.
Tableau 24
Les vingt-quatre sculptures d’enfants Chinois exemplaires.
Huang Tingjian qui vivait dans la dynastie Song du Nord, était attentionné et s’occupait de sa mère tous les soirs malgré ses fonctions gouvernementales de haut rang.
The Twenty-four Chinese Filial Exemplars, story 24

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 騎牛遠遠過前村,短笛橫吹隔隴聞。
多少長安名利客,機關用盡不如君。

痴兒了卻公家事,快閣東西倚晚晴。
落木千山天遠大,澄江一道月分明。
朱弦已為佳人絕,青眼聊因美酒橫。
萬裡歸船弄長笛,此心吾與白鷗盟。

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THEAN HOU TEMPLE DE KUALA LUMPUR 天后宫

中国历法
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LE CALENDRIER 历 CHINOIS 中国
 中国传统历法
du THEAN HOU TEMPLE
 LES DOUZE ANIMAUX-SIGNES
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[Version Chinoise]

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YUE LAO
月老
THE GOD OF MARRIAGE
月下老人

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Twenty-four Paragons of Filial Piety in China
Les 24 modèles de Piété filiale Chinoise
二十四孝

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Vues Extérieures
天后宫外观

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LES TEMPLES CHINOIS
DANS LA PREMIERE ENCYCLOPEDIE
DE 1751

Louis de Jaucourt
L’Encyclopédie – Tome 16
Première Edition de 1751

Temples des Chinois, (Hist. de la Chine.) parmi les édifices publics où les Chinois font paraître le plus de somptuosité, on ne doit pas omettre les temples, ou les pagodes, que la superstition des princes & des peuples a élevés à de fabuleuses divinités : on en voit une multitude prodigieuse à la Chine ; les plus célèbres sont bâtis dans les montagnes.

Quelque arides que soient ces montagnes, l’industrie chinoise a suppléé aux embellissements & aux commodités que refusait la nature ; des canaux travaillés à grands frais, conduisent l’eau des montagnes dans des bassins destinés à la recevoir ; des jardins, des bosquets, des grottes pratiquées dans les rochers, pour se mettre à l’abri des chaleurs excessives d’un climat brûlant, rendent ces solitudes charmantes.

Les bâtiments consistent en des portiques pavés de grandes pierres quarrées & polies, en des salles, en des pavillons qui terminent les angles des cours, & qui communiquent par de longues galeries ornées de statues de pierre, & quelquefois de bronze ; les toits de ces édifices brillent par la beauté de leurs briques, couvertes de vernis jaune & vert, & sont enrichis aux extrémités, de dragons en saillie de même couleur.

Il n’y a guère de ces pagodes où l’on ne voie une grande tour isolée, qui se termine en dôme : on y monte par un escalier qui règne tout autour ; au milieu du dôme est d’ordinaire un temple de figure carrée ; la voûte est souvent ornée de mosaïque, & les murailles sont revêtues de figures de pierres en relief, qui représentent des animaux & des monstres.

Telle est la forme de la plupart des pagodes, qui sont plus ou moins grands, selon la dévotion & les moyens de ceux qui ont contribué à les construire : c’est la demeure des bonzes, ou des prêtres des idoles, qui mettent en œuvre mille supercheries, pour surprendre la crédulité des peuples, qu’on voit venir de fort loin en pèlerinage à ces temples consacrés à la superstition ; cependant comme les Chinois, dans le culte qu’ils rendent à leurs idoles, n’ont pas une coutume bien suivie, il arrive souvent qu’ils respectent peu & la divinité & ses ministres.

Mais le temple que les Chinois nomment le temple de la Reconnaissance, mérite en particulier que nous en disions quelque chose. Ce temple est élevé sur un massif de brique qui forme un grand perron, entouré d’une balustrade de marbre brut : on y monte par un escalier de dix à douze marches, qui règne tout le long ; la salle qui sert de temple, a cent pieds de profondeur, & porte sur une petite base de marbre, haute d’un pied, laquelle en débordant, laisse tout-au-tour une banquette large de deux ; la façade est ornée d’une galerie, & de quelques piliers ; les toits, (car selon la coutume de la Chine, souvent il y en a deux, l’un qui naît de la muraille, l’autre qui la couvre), les toits, dis-je, sont de tuiles vertes, luisantes & vernissées ; la charpente qui paroît en dedans, est chargée d’une infinité de piéces différemment engagées les unes dans les autres, ce qui n’est pas un petit ornement pour les Chinois. Il est vrai que cette forêt de poutres, de tirans, de pignons, de solives, qui regnent de toutes parts, a je ne sais quoi de singulier & de surprenant, parce qu’on conçoit qu’il y a dans ces sortes d’ouvrages, du travail & de la dépense, quoiqu’au fond cet embarras ne vient que de l’ignorance des ouvriers, qui n’ont encore pû trouver cette simplicité qu’on remarque dans nos bâtimens éuropéens, & qui en fait la solidité & la beauté : la salle ne prend le jour que par ses portes ; il y en a trois à l’orient, extrémement grandes, par lesquelles on entre dans la fameuse tour de porcelaine, & qui fait partie de ce temple.

Louis de Jaucourt
Première Encyclopédie
1751