« Desta arte o Mouro pérfido despreza « De cette façon, le perfide Maure méprise O poder dos Cristãos, e não entende Le pouvoir des Chrétiens, sans savoir qu’ils sont sous l’emprise…
« Da terra dos Algarves, que lhe fora « De la terre de l’Algarve, qui en dot Em casamento dada, grande parte De mariage avait été reçue , en grande partie…
« Mas o velho, a quem tinham já obrigado « Mais, Alphonse I, le vieil homme, qui se trouvait déjà Os trabalhosos anos ao sossego, En villégiature, après tant d’années de labeur,…
« E vós também, ó terras Transtaganas, « Et vous aussi, ô terres au-delà du Tage, Afamadas co’o dom da flava Ceres, Réputées comme un don de la flavescente Cérès,…
L’Édifice Sultan Abdul Samad
Bangunan Sultan Abdul Samad
Sultan Abdul Samad Building باڠونن سلطان عبدال سامد
Place de l’Indépendance à KL Dataran Merdeka
Les locaux abritent aujourd’hui :
Le Ministère de l’Information
Le Ministère des Communications et de la Culture de Malaisie
Concepteur – Architecte : A.C. Norman
A conçu les plans de l’édifice Arthur Charles Alfred Norman
(1858-1944)
Fin de la construction 1897
A. C. Norman a conçu de nombreux bâtiments à KL : St.Mary’s Church en 1894, le National Textile Museum en 1895 qui se trouve à proximité de l’édifice Sultan Abdul Samad sur cette même place de l’Indépendance, la Librairie de KL : la Kuala Lumpur Library en 1909, etc.
Gaya seni bina : Moghul & Moor
Style architectural : Moghol et Maure
Abdul Samad de Selangor était le quatrième sultan de Selangor.
1804-1898
Le Selangor comprenait l’actuel état au nord de KL, Kuala Lumpur et Putrajaya.
( Extrait ) Par En cherchant à montrer la différence qui sépare la vie aventureuse et active des écrivains portugais, notamment celle de Camoens, de la vie casanière et posée de la plupart de nos gens de lettres, je ne prétends pas élever par-là les œuvres des uns, ni déprimer les productions des autres. Je n’en crois pas les élégies de Camoens plus touchantes parce qu’elles sont datées d’Afrique, de la Chine et de l’Inde ; je n’en estime pas Polyeucte et Cinna moins admirables, parce que le grand Corneille n’a guère fait de plus longues pérégrinations que le voyage de Paris à Rouen. Je ne conseille à personne de louer un cabinet d’étude à Macao ; mais je crois que, généralement, si les ouvrages écrits au milieu des traverses et au feu des périls ne sont pas plus beaux, les vies de leurs auteurs sont plus belles. Indépendamment de la variété des aventures, on y trouve plus d’enseignements. J’admire et j’honore infiniment La Fontaine et Molière, mais j’honore et j’admire encore plus, comme hommes, Cervantès et Camoens. A mérite de rédaction égal, une histoire littéraire du Portugal serait un meilleur et plus beau livre qu’une histoire littéraire de notre dix-septième ou dix-huitième siècle. C’est une chose bonne et sainte que la lecture de ces vies d’épreuves, que ces passions douloureuses des hommes de génie, Je ne sache rien de plus capable de retremper le cœur. C’est pour cela que dans ce temps de souffrances oisives, de désappointements frivoles, de molles contrariétés et de petites douleurs, j’ai cru bon d’écrire l’étude suivante sur la vie de Luiz de Camoens. ….
OS LUSIADAS II-107 Luís Vaz de Camões Les Lusiades
Luís Vaz de Camões Les Lusiades OS LUSIADAS II-102 LES LUSIADES II-102
*****
E com grandes palavras lhe oferece Et avec de grandes paroles, le Roi offre à Gama Tudo o que de seus Reinos lhe cumprisse, Tout ce qui, dans son Royaume, peut lui servir,…
–
Vasco de Gama par Gregorio Lopes
********************* Luís Vaz de Camões Les Lusiades OS LUSIADAS II-102 LES LUSIADES II-102
( Extrait ) Par En cherchant à montrer la différence qui sépare la vie aventureuse et active des écrivains portugais, notamment celle de Camoens, de la vie casanière et posée de la plupart de nos gens de lettres, je ne prétends pas élever par-là les œuvres des uns, ni déprimer les productions des autres. Je n’en crois pas les élégies de Camoens plus touchantes parce qu’elles sont datées d’Afrique, de la Chine et de l’Inde ; je n’en estime pas Polyeucte et Cinna moins admirables, parce que le grand Corneille n’a guère fait de plus longues pérégrinations que le voyage de Paris à Rouen. Je ne conseille à personne de louer un cabinet d’étude à Macao ; mais je crois que, généralement, si les ouvrages écrits au milieu des traverses et au feu des périls ne sont pas plus beaux, les vies de leurs auteurs sont plus belles. Indépendamment de la variété des aventures, on y trouve plus d’enseignements. J’admire et j’honore infiniment La Fontaine et Molière, mais j’honore et j’admire encore plus, comme hommes, Cervantès et Camoens. A mérite de rédaction égal, une histoire littéraire du Portugal serait un meilleur et plus beau livre qu’une histoire littéraire de notre dix-septième ou dix-huitième siècle. C’est une chose bonne et sainte que la lecture de ces vies d’épreuves, que ces passions douloureuses des hommes de génie, Je ne sache rien de plus capable de retremper le cœur. C’est pour cela que dans ce temps de souffrances oisives, de désappointements frivoles, de molles contrariétés et de petites douleurs, j’ai cru bon d’écrire l’étude suivante sur la vie de Luiz de Camoens. ….
OS LUSIADAS II-102 Luís Vaz de Camões Les Lusiades