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OS LUSIADAS IV-61 LES LUSIADES LUIS DE CAMOES – Manda seus mensageiros, que passaram

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JEAN II DE PORTUGAL

Ferdinand de Portugal traduction Jacky LavauzelleOS LUSIADAS CAMOES CANTO IV
Os Lusiadas Les Lusiades
OS LUSIADAS IV-61 LES LUSIADES IV-61
LITTERATURE PORTUGAISE

JEAN II DE PORTUGAL Os Lusiadas Traduction Jacky Lavauzelle Les Lusiades de Luis de Camoes




Ferdinand de Portugal Os Lusiadas Traduction Jacky Lavauzelle Les Lusiades de Luis de Camoes

literatura português

Luis de Camões
[1525-1580]

Tradução – Traduction
texto bilingue




Luis de Camoes Les Lusiades Trad Jacky Lavauzelle

 Obra Poética  (1556)




OS LUSIADAS IV-61
A Epopeia Portuguesa

 

Traduction Jacky Lavauzelle

Ferdinand de Portugal Camoes Traduction Jacky Lavauzelle
Vasco de Gama

 

Traduction Jacky Lavauzelle

 

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JEAN II DE PORTUGAL

LE PRINCE PARFAIT
Lisbonne, 3 mars 1455 – Alvor, 25 octobre 1495
succède à Alphonse V

Jean II de Portugal

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JEAN II DE PORTUGAL
A LA RECHERCHE
DES LIMITES DE LA POURPRE AURORE
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Embarquement à Naples

« Manda seus mensageiros, que passaram

« Jean II envoie ses messagers, qui traversèrent
Espanha, França, Itália celebrada,
L’Espagne, la France et la célèbre Italie,…

Amazon.fr – LES LUSIADES: OS LUSIADAS – Camões, Luís de, LAVAUZELLE, JACKY – Livres

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Ferdinand de Portugal Traduction Jacky Lavauzelle

Vasco de Gama par Gregorio Lopes

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LA MORT DU VETERAN CAMOES

Et puis, pour qu’un royaume ait des gens de lettres, il lui faut de l’argent pour les pensionner. Le Portugal, qui épuisait son épargne en flottes, en armées, en constructions de citadelles, ne pouvait avoir dans son budget un chapitre d’encouragemens aux lettres et aux arts. Bientôt même l’état ruiné par ses conquêtes, obéré par la victoire, n’eut plus de quoi suffire aux besoins de ses armées : il finit par ne pouvoir plus nourrir ceux qui l’avaient servi. Camoens mourut à l’hôpital, ou à-peu-près ; mais ce ne fut pas comme poète ; ce ne fut pas comme Gilbert et Maifilâtre à côté d’autres écrivains largement rentes: ce fut comme un vétéran dont la solde manque, ou dont la pension de retraite est suspendue.il mourut comme beaucoup de ses compagnons d’armes, comme mouraient les vice-rois eux-mêmes, qui n’avaient pas toujours (témoin dom Joâo de Castro) de quoi acheter une pouie dans leur dernière maladie.

« Qu’y a-t-il de plus déplorable que de voir un si grand génie si mal récompensé ? Je l’ai vu mourir dans un hôpital de Lisbonne, sans avoir un drap pour se couvrir, lui qui avait si bravement combattu dans l’Inde orientale et qui avait fait cinq mille cinq cents lieues en mer. Grande leçon pour ceux qui se fatiguent à travailler nuit et jour et aussi vainement que l’araignée qui ourdit sa toile pour y prendre des mouches. »
Il peut résulter de cette apostille que José Indio a vu Camoens à l’hôpital, sans qu’il faille prendre à la lettre les mots je l’ai vu mourir.
Ce fut dans ces circonstances que le désastre d’AIkacer Kébir (4 août 1578) frappa de mort le Portugal. Il restait encore à Camoens une larme pour sa patrie : Ah ! s’écria-t-il, du moins je meurs avec elle ! Il répéta la même pensée dans la dernière lettre qu’il ait écrite. « Enfin, disait-il, je vais sortir de la vie, et il sera manifeste à tous que j’ai tant aimé ma patrie, que non-seulement je me trouve heureux de mourir dans son sein, mais encore de mourir avec elle. »
Il ne survécut que peu de mois à ce désastre, et mourut au commencement de 1579, à l’âge de cinquante-cinq ans.
Il fut enterré très pauvrement dans l’église de Santa Anna, dit Pedro de Mariz, à gauche en entrant et sans que rien indiquât sa sépulture. Ses malheurs firent une impression si profonde, que personne ne voulut plus occuper la maison qu’il avait habitée. Elle est restée vide depuis sa mort. Les prévisions de Camoens ne tardèrent pas à s’accomplir. Le Portugal, ce royaume né d’une victoire et mort dans une défaite, tomba bientôt sous le joug de Philippe IL Ce monarque visitant ses nouvelles provinces, s’informa du poète, et, en apprenant qu’il n’existait plus, il témoigna un vif regret….

Charles Magnin
Luiz de Camoëns
Revue des Deux Mondes
Période Initiale, tome 6

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Traduction Jacky Lavauzelle

ARTGITATO
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Ferdinand de Portugal Camoes Os Lusiadas IV Traduction Jacky Lavauzelle

JEAN II DE PORTUGAL

 OS LUSIADAS IV

LUIS DE CAMOES LES LUSIADES


Camoes Canto III

INVASIONS SARRASINES EN CASTILLE – OS LUSIADAS III-100 LES LUSIADES CAMOES – Nunca com Semirâmis gente tanta

* Os Lusiadas Les Lusiades
OS LUSIADAS III-100 LES LUSIADES III-100
LITTERATURE PORTUGAISE





Luis de Camoes Oeuvres obras Artgitato

literatura português

Luis de Camões
[1525-1580]

Tradução – Traduction
texto bilingue




Luis de Camoes Les Lusiades

 

Obra Poética

(1556)

LES LUSIADES III-100




OS LUSIADAS III-100
A Epopeia Portuguesa

 

CHANT III
Canto Terceiro

Traduction Jacky Lavauzelle

verso 100
Strophe 100

III-100

Image illustrative de l'article Vasco de Gama

Vasco de Gama

Vasco da Gama signature almirante.svg

 

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Luís de Camões Os Lusiadas
OS LUSIADAS III-100
LES LUSIADES III-100

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Sémiramis
Reine Légendaire de Babylone
Semmiramide Regina di Babillone
XVIIIe

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« Nunca com Semirâmis gente tanta
« Jamais tant de guerriers avec Semiramis
Veio os campos idáspicos enchendo,
N’avaient pénétré les rivages de l’Hydaspe,…

 

 OS LUSIADAS
LES LUSIADES CAMOES

LES CHÂTEAUX Poème de Fernando PESSOA OS DOS CASTELOS Poema de Fernando PESSOA

LES CHÂTEAUX OS DOS CASTELOS 
Poème de Fernando Pessoa
Poema de Fernando Pessoa
Mensagem Pessoa
os dos castelos poema de fernando pessoa les châteaux poème de Fernando Pessoa Artgitato




Traduction – Texte Bilingue
tradução – texto bilíngüe

Traduction Jacky Lavauzelle


LITTERATURE PORTUGAISE
POESIE PORTUGAISE

Literatura Português

FERNANDO PESSOA
1888-1935
Fernando Pesso Literatura Português Poesia e Prosa Poésie et Prose Artgitato

 




Os Dos Castelos
poema de Fernando Pessoa

Les Châteaux
poème de Fernando Pessoa

A Europa jaz, posta nos cotovelos:
L’Europe a posé ses coudes
De Oriente a Ocidente jaz, fitando,
De l’Est à l’Ouest, elle est là, fixant
E toldam-lhe românticos cabelos
Et obscurcissant ses cheveux romantiques…

8 de dezembro de 1928
8 décembre 1928

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LES CHÂTEAUX Poème de Fernando PESSOA
OS DOS CASTELOS Poema de Fernando PESSOA

PIAZZA CAVOUR – PLACE CAVOUR – Rome – Roma

Les Places de Rome
le Piazze di Roma
ROME – ROMA

Armoirie de Rome

 Photos Jacky Lavauzelle

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Flag_of_Lazio

le piazze di Roma
Les places de Rome
Rione Prati – Quartier Prati

PIAZZA CAVOUR
Monumento a Cavour

Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 0

CAMILLE CAVOUR
Camillo Paolo Filippo Giulio Benso
comte de Cavour
1810-1861
premier Président du conseil du royaume d’Italie

Camillo Cavour Camille Cavour Piazza Cavour artgitato

JARDIN DE LA PLACE CAVOUR
il giardino di Piazza Cavour
Réalisé par Nicodemo Severi entre 1895 et 1911
realizzato tra il 1895 e il 1911

Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 1 Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 3

« Le comte de Cavour n’était pas encore sorti de ces graves difficultés et déjà il en surgissait une nouvelle qu’il avait toujours redouté d’aborder. L’esprit provincial n’avait pas abdiqué devant l’élan patriotique qui avait envahi l’Italie entière. A Milan, à Florence, à Naples, on ne s’inclinait pas aisément devant la prépondérance de Turin. En cessant d’être Lombards, Toscans, Napolitains, les hommes du parti national ne se souciaient pas de devenir des Piémontais, et ils se demandaient quelle serait désormais la capitale du Royaume. Une seule ville pouvait faire taire ou concilier toutes ces rivalités. La question de Rome naquit ainsi de la constitution même de toutes les contrées en un État unique. Les groupes révolutionnaires l’avaient posée et résolue de tout temps : le siège du gouvernement italien, selon eux, devait être établi au Quirinal.  »
COMTE BENEDETTI
Le comte de Cavour et le prince de Bismarck
LA REVUE DES DEUX MONDES
TOME 137 – 1896

Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 4 Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 7 Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 8 Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 10 Monumento a Cavour Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 11 Monumento a Cavour Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 12 Monumento a Cavour

Monument à Cavour
Monumento a Cavour
Statue de bronze
statua bronzea

plateforme en granit et piédestal en marbre
piattaforma in granito e un piedistallo in marmo
allégorie de l’Italie et de Rome, de la Pensée et de l’Action
allegorie dell’Italia e di Roma, del Pensiero e dell’Azione
Stefano Galletti

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LE THEÂTRE ADRIANO
Il Teatro Adriano
« Politeama Adriano »
1898
7 juin 1898 : Mise en scène de la Bohème de Puccini
7 giugno – La bohème di PucciniPiazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 5 LE THEÂTRE ADRIANO Teatro Adriano

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Chiesa Valdese di Roma

Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 61 Chiesa Valdese di Roma Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 6 Chiesa Valdese di Roma

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Le Fontane Gemelle – Les Fontaines jumelles
Palazzo di Giustizia – Palais de Justice
il più grandioso tra gli edifici dell’epoca umbertina
La plus grand édifice du règne du roi Humbert
Fu voluto dal ministro Giuseppe Zanardelli
Commandé par le ministre Giuseppe Zanardelli
1889 -1911

Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 2 La Fontaine du Palais de Justice Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 9 Palazzo di Giustizia Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 91 Palazzo di Giustizia Piazza Cavour Place Cavour Rome Roma artgitato 92 Palazzo di Giustizia

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COMTE BENEDETTI
Le comte de Cavour et le prince de Bismarck
1ère Partie
LA REVUE DES DEUX MONDES
TOME 137 – 1896

« Les premières impressions de Cavour, ses premières manifestations furent d’une tout autre nature. Il était encore enfant que déjà il se révoltait contre un état de choses qui blessait tous ses instincts. Entré fort jeune et sans préparation littéraire à l’école militaire de Turin, il y fit de brillantes études scientifiques. Il fut choisi, parmi les cadets, pour faire partie du corps des pages ; cette faveur froissa son âme éprise déjà de liberté. Attaché en cette qualité à la maison du prince de Carignan, depuis le roi Charles-Albert, il se montra réfractaire aux devoirs de sa charge. Il déplut à ce prince et fut rayé du cadre des jeunes favorisés. Il a, depuis, révélé lui-même les sentimens qu’il apportait à la cour. A quelqu’un qui lui demandait comment les pages étaient habillés : « Parbleu, répondait-il, comment voulez-vous que nous fussions habillés, si ce n’est comme des laquais que nous étions ; j’en rougissais de honte. » Sorti de l’école dans les premiers rangs, il fut incorporé dans le génie ; il avait seize ans. Envoyé en garnison à Gênes, il s’y montra actif, laborieux, faisant preuve d’aptitudes qui le signalèrent à l’attention de ses chefs. Il s’y trouvait encore quand éclata la révolution de 1830 ; il y applaudit sans retenue, ne dissimulant pas des opinions libérales qui s’étaient affermies et développées dans un milieu que de vieilles traditions rendaient accessible aux mouvemens patriotiques. Dès ce moment, il eut, de la liberté ou plutôt des doctrines qui l’ont engendrée, une conception large et impérieuse. On envisageait à Turin autrement qu’à Gênes les événemens dont Paris avait été le théâtre. Charles-Albert n’avait rien oublié, et après son avènement au trône, en 1831, Cavour fut envoyé au fort de Bard qu’on jugeait opportun de mettre en bon état de défense. Cette disgrâce le blessa ; six mois après il donnait sa démission et il rentrait dans ses foyers. »