ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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ბალერინები სარკესთან
Balerinebi sarkestan
BALLERINES AU MIROIR
BALLERINAS BY A MIRROR
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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ბალერინები სახელოსმონი
Balerinebi sakhelosmoni
BALLERINES EN ATELIER
Ballerinas in Workshop
1976
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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ბალერინები სარკესთან
Balerinebi sarkestan
BALLERINES AU MIROIR
BALLERINAS BY A MIRROR
1988
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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ბალერინები ისვენებენ
Balerinebi isveneben
BALLERINES AU REPOS
Ballerinas taking a break
2013
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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« Une armature, qui n’est d’aucune femme en particulier, d’où instable, à travers le voile de généralité, attire sur tel fragment révélé de la forme et y boit l’éclair qui le divinise ; ou exhale, de retour, par l’ondulation des tissus, flottante, palpitante, éparse cette extase. Oui, le suspens de la Danse, crainte contradictoire ou souhait de voir trop et pas assez, exige un prolongement transparent. «
Stéphane Mallarmé
Divagations (1897)
« Le seul il le fallait fluide comme l’enchanteur »
Divagations, Eugène Fasquelle, éditeur
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BALLERINES SE PREPARANT A RENTRER EN SCENE
BALLERINAS PREPARING TO PERFORM
2011
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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BALLERINE NOUS REGARDANT
Ballerina is looking at us
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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ბალერინები ვარდისფერ პაჩკამი
BALLERINES EN TUTU ROSE
BALLERINAS IN PINK TUTU
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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BALLERINES AU TRAVAIL
Ballerinas on stage
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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Ballerinas tying her pointe shoe
BALLERINE ATTACHANT SES CHAUSSURES A POINTE
2008
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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Quand une femme tourne ainsi avec rapidité dans un plan vertical, la jupe, projetée par la force centrifuge, mérite d’être comparée — ce qui est banal et faux d’ailleurs en d’autres circonstances — à la corolle d’une fleur, laquelle, comme on sait, s’ouvre vers le soleil et jamais en bas. La plus austère pudeur ne saurait s’alarmer, car, par les bienfaits de ladite force centrifuge, le vêtement adhère énergiquement jusqu’aux pieds, à condition toutefois d’une rotation assez rapide.
La danse, telle qu’elle se pratique au contraire dans les ballets, s’avoue d’une immoralité flagrante : la ballerine pirouettant debout, la jupe s’écarte, toujours par la force centrifuge, jusqu’à s’éployer entièrement, de telle sorte que sa circonférence soit dans le même plan que les points d’attache.
Alfred Jarry
Balistique de la danse
Spéculations, Fasquelle éd.,
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LES MARINES Marine paintings
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წვიმიანი ბათუმის სანაპირო
Tsvimiani batumis sanapiro
RAINY COAST OF BATUMI
PLUIE SUR LA CÔTE DE BATUMI
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
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Au Musée géorgien des Beaux-arts
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ყვავილები
Kvavilebi
LES FLEURS
FLOWERS
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ყვავილები
Kvavilebi
FLOWERS
FLEURS
2015
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იასამნები
Iasamnebi
LILAS
LILACS
2015
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ვარდები
Vardebi
ROSES
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Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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ყაყაჩოების მინდორი
Qaqachoebis mindori
CHAMP DE COQUELICOT
Poppy Field
2013
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
Huile sur toile
Oil on Canvas
ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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LES NUS
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NU
NUDE
ტილო ზეთი
T’ilo zeti
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ქართული სახვითი ხელოვნების მუზეუმი
Au Musée géorgien des Beaux-arts
Georgian Museum of Fine Arts 7 Shota Rustaveli Ave, Tbilisi 7 შოთა რუსთაველის გამზირი, თბილისი
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დალი ფოდიაშვილი
DALI PODIASHVILI TBILISSI – ნარიყალა
Quando tornar a vir a Primavera Quand le Printemps reviendra Talvez já não me encontre no mundo. Peut-être n’appartiendrai-je plus à ce monde. Gostava agora de poder julgar que a Primavera é gente J’aimerais maintenant penser que le printemps est une personne…
INTERMEZZO LYRIQUE
Le Monde est si beau
Heinrich Heine
*
XXIX
Die Welt ist so schön und der Himmel so blau,
Le monde est si beau et le ciel si bleu, Und die Lüfte die wehen so lind und so lau,
Et les brises qui soufflent si douces et si tièdes, Und die Blumen winken auf blühender Au’,
Et les fleurs ondulent dans la prairie fleurie…
*******
XXIX
LE MONDE EST SI BEAU
HEINRICH HEINE
INTERMEZZO LYRIQUE
********
*********
LA POESIE DE HEINRICH HEINE
A ce point de vue, Heine est traité en privilégié. Les Allemands peuvent bien maudire le pamphlétaire, ils savent par cœur les vers du poète. Éditeurs, biographes, critiques d’outre-Rhin lui ont consacré d’importans travaux. Chez nous, seul entre les poètes allemands, il bénéficie de ce privilège d’avoir un public. Je ne nie pas que nous n’ayons pour quelques autres, et pour Goethe par exemple, un juste respect. Nous admirons Gœthe, nous ne l’aimons pas. Au contraire, l’auteur de l’Intermezzoest pour quelques Français de France un de ces écrivains qui sont tout près du cœur. Cela tient à plusieurs raisons parmi lesquelles il en est d’extérieures. Heine a vécu pendant de longues années parmi nous ; il parlait notre langue, quoique avec un fort accent ; il l’écrivait, quoique d’une façon très incorrecte ; il nous a loués, quoique avec bien de l’impertinence ; il a été mêlé à notre société ; il a été en rapports avec nos écrivains, nos artistes et même nos hommes politiques. Nous nous sommes habitués à le considérer comme un des nôtres, et sa plaisanterie, fortement tudesque, passe encore pour avoir été une des formes authentiques de l’esprit parisien. Notre sympathie pour Heine se fonde d’ailleurs sur des motifs plus valables. Il a quelques-unes des qualités qui nous sont chères : son style est clair ; ses compositions sont courtes. Nous aimons ces lieds dont quelques-uns durent le temps d’un soupir, l’espace d’un sanglot. Leur pur éclat nous semble celui de la goutte de rosée que le soleil taille en diamant, ou d’une larme qui brille dans un sourire. C’est par eux que le meilleur de la sentimentalité allemande est parvenu jusqu’à nous. Ou, pour parler plus exactement, la poésie de Heine représente une nuance particulière de sensibilité, qu’il a créée et que nous avons accueillie. Aussi doit-elle avoir sa place dans une histoire de la poésie lyrique en France. De même qu’il y a une « critique allemande » de l’œuvre de Heine, il convient qu’il y en ait parallèlement une « critique française ».
René Doumic Revue littéraire La poésie de Henri Heine d’après un livre récent Revue des Deux Mondes 4e période tome 140 1897 pp. 457-468
Aus meinen Thränen sprießen
Poussent de mes larmes Viel blühende Blumen hervor,
Des milliers de fleurs, Und meine Seufzer werden
Et mes soupirs ne sont Ein Nachtigallenchor.
Qu’un chœur de rossignols.
*
Und wenn du mich lieb hast, Kindchen,
Et si tu m’aimes, mon enfant, Schenk’ ich dir die Blumen all’,
Je te donne toutes les fleurs, Und vor deinem Fenster soll klingen
Et à ta fenêtre tu entendras Das Lied der Nachtigall.
Le chant des rossignol.
******
Aus meinen Thränen sprießen
*********
LA POESIE DE HEINE
A ce point de vue, Heine est traité en privilégié. Les Allemands peuvent bien maudire le pamphlétaire, ils savent par cœur les vers du poète. Éditeurs, biographes, critiques d’outre-Rhin lui ont consacré d’importans travaux. Chez nous, seul entre les poètes allemands, il bénéficie de ce privilège d’avoir un public. Je ne nie pas que nous n’ayons pour quelques autres, et pour Goethe par exemple, un juste respect. Nous admirons Gœthe, nous ne l’aimons pas. Au contraire, l’auteur de l’Intermezzo est pour quelques Français de France un de ces écrivains qui sont tout près du cœur. Cela tient à plusieurs raisons parmi lesquelles il en est d’extérieures. Heine a vécu pendant de longues années parmi nous ; il parlait notre langue, quoique avec un fort accent ; il l’écrivait, quoique d’une façon très incorrecte ; il nous a loués, quoique avec bien de l’impertinence ; il a été mêlé à notre société ; il a été en rapports avec nos écrivains, nos artistes et même nos hommes politiques. Nous nous sommes habitués à le considérer comme un des nôtres, et sa plaisanterie, fortement tudesque, passe encore pour avoir été une des formes authentiques de l’esprit parisien. Notre sympathie pour Heine se fonde d’ailleurs sur des motifs plus valables. Il a quelques-unes des qualités qui nous sont chères : son style est clair ; ses compositions sont courtes. Nous aimons ces lieds dont quelques-uns durent le temps d’un soupir, l’espace d’un sanglot. Leur pur éclat nous semble celui de la goutte de rosée que le soleil taille en diamant, ou d’une larme qui brille dans un sourire. C’est par eux que le meilleur de la sentimentalité allemande est parvenu jusqu’à nous. Ou, pour parler plus exactement, la poésie de Heine représente une nuance particulière de sensibilité, qu’il a créée et que nous avons accueillie. Aussi doit-elle avoir sa place dans une histoire de la poésie lyrique en France. De même qu’il y a une « critique allemande » de l’œuvre de Heine, il convient qu’il y en ait parallèlement une « critique française ».
René Doumic Revue littéraire La poésie de Henri Heine d’après un livre récent Revue des Deux Mondes 4e période tome 140 1897 pp. 457-468
PAROLES de CHARLYS (18xx-1955) & MONTAGNON
MUSIQUE de CHARLYS (18xx-1955) & MONTAGNON
– SUR LE TROTTOIR
–
Paroles de Charlys & Montagnon Musique de Charlys & Montagnon
PREMIER COUPLET
Elle naquit un matin de printemps
Ainsi que viennent les roses
Fleur du hasard qu’on jette à peine éclose
Sur le chemin du passant
Elle était née d’un beau serment d’amour
Mais les serments sont frivoles
L’amour s’envole et dans le vieux faubourgs
L’enfant reste seul un jour.
REFRAIN
Sur le trottoir près du ruisseau
Epave de la rue
Abandonnée loin du berceau
Pauvre fille perdue
Fleur du pavé que par devoir
Une passante émue
Par charité recueille un soir
Là-bas sur le trottoir.
SECOND COUPLET
Elle grandit sans soutien, sans tuteur,
Comme les herbes sauvages.
A dix-huit ans un amour de passage
Vint déjà, prendre son cœur
Et pour un homme, un vaurien sans aveu,
On la vit, vendre ses charmes.
Combien de larmes
Et de chagrins honteux
Pouvaient se lire en ses yeux.
REFRAIN
Sur le trottoir près du ruisseau
Epave de la rue
Vendant son cœur pour ce qu’il vaut
Elle se prostitue
Ses cheveux courts, ses grands yeux noirs,
Dans la foule inconnue
Sont au passant qui veut l’avoir,
Là-bas sur le trottoir.
TROISIEME COUPLET
Mais le temps passe, elle a déjà vieilli,
Comme les fleurs éphémères,
Les fleurs d’amour ne se conservent guère
Une saison les flétrit
Maintenant c’est un objet de dédain,
Que l’homme regarde à peine
Femme qui traîne,
Epuisée de chagrin
Sans abri, sans feu, sans pain.
REFRAIN
Sur le trottoir, près du ruisseau
Epave de la rue,
Elle est tombée sans dire un mot,
C’est le froid qui la tue.
Puissants du jour, votre pouvoir
Vos lois qu’on institue,
Ne sont rien tant qu’on pourra voir
Des femmes sur le trottoirs.
sur le trottoir paroles & musique de Charlys & Montagnon
L’albero a cui tendevi L’arbre à qui tu tendais la pargoletta mano, ta petite main, il verde melograno le vert grenadier da’ bei vermigli fior, aux belles fleurs vermeilles,
nel muto orto solingo dans le jardinsolitairesilencieux rinverdì tutto or ora, reverdittoutjustemaintenant, e giugno lo ristora et juin le ravive di luce e di calor. de lumière etde chaleur.
Tu fior de la mia pianta Toi fleur dema plante percossa e inaridita, battue etflétrie, tu de l’inutil vita Toi de l’inutile vie estremo unico fior,
unique fleur dernière,
sei ne la terra fredda,
tu es dans la terre froide, sei ne la terra negra tu es dans la terre noire né il sol più ti rallegra le soleil ne t’enchante plus né ti risveglia amor. l’amour ne te réveille plus.
LITTERATURE ANGLAISE
Poésie anglaise – English poetry Songs of Innocence and of Experience
SONGS OF EXPERIENCE
THE GARDEN OF LOVE William Blake
poèmes – poems
1794
WILLIAM BLAKE
1757-1827
THE GARDEN OF LOVE
—–
Le Jardin d’Amour
I went to the Garden of Love, Je suis allé auJardind’Amour, And saw what I never had seen: Etvu ce que jene l’avais jamaisvue : A Chapel was built in the midst, Unechapelle était construiteen plein milieu, Where I used to play on the green. Où j’avais l’habitude de jouersur la pelouse.
And the gates of this Chapel were shut, Etles portes de cettechapelleétaient fermées, And ‘Thou shalt not’ writ over the door; Et « Tu ne feras pas« , était écrit sur cette porte ; So I turn’d to the Garden of Love, Je me suis tourné alors vers le Jardin d’Amour, That so many sweet flowers bore. Que tant defleurs doucesdécoraient.
And I saw it was filled with graves, Etje l’ai vurempli detombes, And tomb-stones where flowers should be: Et de pierres tombalesoù les fleursdevaient être: And Priests in black gowns, were walking their rounds, Et les prêtresenrobe noire, déambulaient dans leursrondes, And binding with briars, my joys & desires. En liant avecdes ronces, mes joies& mes désirs.
************************ Traduction Jacky Lavauzelle ARTGITATO
************************ the garden of love blake
Sacros, altos, dorados capiteles,
Sacrés, élevés, capitaux dorés que a las nubes borráis sus arreboles,
qu’aux nuages dérobent la lumière, Febo os teme por más lucientes soles,
Phébus vous craint pour des soleils pleins de brillances, y el cielo por gigantes más crüeles.
et le ciel pour des géants terriblement cruels….
Este, a Pomona cuando ya no sea
– Consacré à Pomone, cet édifice
Este, a Pomona cuando ya no sea, Consacré à Pomone, cet édifice edificio al silencio dedicado
qui n’est pas dédié au silence (que si el cristal lo rompe, desatado, (car si le cristal le brise, sans retenue, süave el ruiseñor lo lisonjea), suave, le rossignol le flatte)…