България – Български
Dimcho Debelyanov
Черна песен – Димчо Дебелянов
Traduction – Texte Bilingue
Превод – показване на два текста
LITTERATURE BULGARE POESIE BULGARE
българската поезия
българска литература
Димчо Дебелянов
Dimcho Debelyanov
1887 – 1916
Черна песен Chanson Noire
1910
Аз умирам и светло се раждам – Je meurset renais à la lumière– разнолика, нестройна душа, éclatée, mon âme est en vrac, през деня неуморно изграждам,
la journéesans relâcheje construis, през нощта без пощада руша.
la nuitsans pitiéje détruis.
*
Призова ли дни светло-смирени, Je désire une journéesimple, гръмват бури над тъмно море, les oragescouvrent la mer assombrie, а подиря ли буря – край мене Je cherche une tempête–à moi всеки вопъл и ропот замре. des criset le murmure des morts.
*
За зора огнеструйна копнея,
je désire des aubes ardentes а слепи ме с лъчите си тя,
mais leurs lumières m’aveuglent, в пролетта като в есен аз крея, au printemps età l’automne, je languis, в есента като в пролет цъфтя. à l’automne etau printemps, j’espère.
*
На безстрастното време в неспира Surimpassible fuite incessantedu temps гасне мълком живот неживян
ma vie non vécue s’estompeen silence и плачът ми за пристан умира, etmon crimeurt sur le quai низ велика пустиня развян. et dans un grand désertplonge.
Byłem u ciebie w te dni przedostatnie,
J’étais avec toi en ces jours, les avant-derniers, Niedocieczonego wątku
D’une incompréhensible histoire Pełne, jak mit,
Lourde comme un mythe, Blade, jak świt,
Pâle comme l’aurore, Gdy życia koniec szepce do początku:
Lorsque la fin de la vie lance des chuchotements dès le début: «Nie stargam cię ja, nie, ja uwydatnię». « Non, je ne t’anéantirai point, non, je t’accompagnerai « .
II
Byłem u ciebie w dni te przedostatnie, J’étais avec toi en ces jours, les avant-derniers, Gdy podobniałeś co chwila, co chwila Lorsque tu ressemblais à chaque instant, à chaque instant Do upuszczonej przez Orfeja liry,
Jusqu’à ce qu’elle ait chuté, à la lyre d’Orphée W której się rzutu moc z pieśnią przesila —
Où à la ligne musicale qui au chant résiste- I rozmawiają z sobą struny cztéry,
Et qui dialogue avec les quatre cordes, Trącając się
Se cognant Po dwie, po dwie,
Par deux, par deux, I szemrząc zcicha:
En murmurant doucement : «Zacząłże on « « Est-ce bien lui Uderzać w ton?… Qui donne le ton? … « Czy taki mistrz, że gra, choć odpycha?» Est-ce là un tel maître du jeu qui en nous attirant nous repousse? «
III
Byłem u ciebie w te dni, Fryderyku!
J’étais avec toi en ces jours, Frédéric ! Którego ręka dla swojej białości
Dont ta main par sa blancheur Alabastrowej, i wzięcia, i szyku,
D’albâtre, et sa prise, et son style. I chwiejnych dotknięć, jak strusiowe pióro,
Et les touches fragiles, telles les plumes d’autruche, Mieszała mi w oczach z klawjaturą
Mélangeait dans mes yeux au clavier Z słoniowej kości.
D’ivoire. I byłeś, jako owa postać, którą
Et tu te transformais en une nouvelle forme, comme Z marmurów łona,
Ces poitrines des marbres, Niźli je kuto,
Avant même qu’elles ne soient taillées, Odejma dłóto
Font penser au burin Genjuszu, wiecznego Pigmaljona!
Du génie, éternel Pygmalion !
IV
A w tem, coś grał i co zmówił ton i co powie, Et soudain, tu as joué une ligne qui m’a surpris Choć inaczej się echa ustroją, Bien différente des échos lointains, Niż, gdy błogosławiłeś sam ręką swoją Quand par ta main tu bénissais Wszelkiemu akordowi — Chaque accord – A w tem, coś grał, taka była prostota Et soudain, tu jouas la simplicité Doskonałości peryklejskiej, L’excellence d’un Périclès Jakby starożytna która cnota, Comme si une antique vertu, W dom modrzewiowy wiejski Dans une demeure de mélèze Wchodząc, rzekła do siebie: Entra en me disant : «Odrodziłam się w niebie, «Je renais dans le ciel, I stały mi się arfą wrota, La porte devient une harpe Wstęgą ścieżka… Le chemin, un ruban … Hostję przez blade widzę zboże… Un maïs, une hostie Emanuel już mieszka Emanuel vit déjà Na Taborze! Sur le mont Thabor ! »
V
I była w tem Polska, od zenitu C’était la Pologne à son zénith Wszechdoskonałości dziejów Dans l’excellence de l’Histoire Wzięta tęczą zachwytu, Plaisir d’un arc-en-ciel, Polska przemienionych kołodziejów, La Pologne des charrons transformées, Taż sama zgoła, L’unique tout à fait. Złotopszczoła… Un miel d’or… (Poznałciżebym ją na krańcach bytu!…) (Je la reconnaîtrais même au précipice de l’existence ! …)
VI
I oto pieśń skończyłeś — i już więcéj Et voici la fin du chant- et tu ne sembles plus être Nie oglądam cię — jedno słyszę: Là quand je te regarde- on peut entendre : Coś, jakby spór dziecięcy — Quelque chose comme une dispute d’enfants – A to jeszcze kłócą się klawisze Mais ce sont toujours les touches que l’on entend O niedośpiewaną chęć, Un désir intérieur, I trącając się zcicha Qui repousse l’esprit Po ośm, po pięć — Par huit, par cinq – Szemrzą: «Począłże grać? Czy nas odpycha?…» Murmurent : « A-t-il joué ? Nous repousse-t-il? … »
VII
O ty, co jesteś miłości profilem, O toi, profil de l’Amour ! Któremu na imię «dopełnienie» — Qui est appelé « aboutissement » – To, co w sztuce mianują stylem, Voilà ce que l’art nomme le style, Iż przenika pieśń, kształci kamienie — Qui imprègne le chant et transforme la pierre – O ty, co się w dziejach zowiesz «erą», O toi, qui dans l’histoire l’on nomme «ère», Gdzie zaś ani historji zenit jest, Et même si cette histoire n’est pas à son zénith, Zwiesz się razem «duchem i literą» Ensemble, on vous appelle « l’esprit et la lettre » I «consummatum est» — Et « consummatum est » – O ty, doskonałe wypełnienie, O toi, accomplissement parfait ! Jakikolwiek jest twój i gdzie… znak, Quel que soit et où que soit… le signe, Czy w Fidjaszu, Dawidzie, czy w Szopenie, — En Phidias, en David ou en Chopin – Czy w eschylesowej scenie. Dans une scène d’une pièce d’Eschyle. Zawsze zemści się na tobie brak. Toujours le manque te poursuivra. Piętnem globu tego niedostatek: La rareté est la plaie de ce monde : Dopełnienie go boli, La perfection se réalise dans la douleur, On rozpoczynać woli Il paraît préférable de sans cesse recommencer I woli wyrzucać wciąż przed się zadatek. De réessayer ne voulant point souffrir. Kłos, gdy dojrzał, jak złoty kometa, Epis, lorsque tu mûris, telle une comète d’or Ledwo, że go wiew ruszy, A peine un souffle te caresse, Deszcz pszenicznych ziarn prószy, Que tes grains de blé en pluie légère s’envolent. Sama go doskonałość rozmieta. La perfection les enlève.
VIII
Oto patrz, Fryderyku! To Warszawa: Ici, vois , Frédéric ! Varsovie ! Pod rozpłomienioną gwiazdą Sous une étoile enflammée Dziwnie jaskrawa… Curieusement lumineuse … Patrz, organy u fary, patrz, twoje gniazdo! Vois, les orgues de l’église paroissiale, vois, ton nid ! Ówdzie patrycjalne domy stare Quelques anciennes maisons patriciennes Jak pospolita rzecz, Comme la république, Bruki placów głuche i szare Les pavements ternes et les carrés gris I Zygmuntowy w chmurze miecz. Et l’épée de Sigismond dans les nuages.
IX
Patrz!… Z zaułków w zaułki Vois ! … De ruelles en ruelles Kaukaskie się konie rwą, Les chevaux du Caucase qui piaffent, Jak przed burzą jaskółki Comme les hirondelles de tempête Wyśmigając przed pułki Rasent leurs régiments Po sto — po sto… Par cent – par cent … Gmach zajął się ogniem, przygasł znów. La demeure prend feu, et disparaît à nouveau. Zapłonął znowu — — i oto pod ścianą Elle refait surface – – et alors contre le mur Widzę czoła ożałobionych wdów Je vois le visage des veuves Kolbami pchane — — Pressée – – I znów widzę, acz dymem oślepian, Encore une fois je vois, à travers cette fumée opaque, Jak przez ganku kolumny Comment par les colonnes du porche Sprzęt podobny do trumny L’appareil semblable à un lourd cercueil Wydźwigają… runął… runął… twój fortepian! monte… s’effondre … s’effondre … ton piano !
X
I była w tem Polska, od zenitu C’était la Pologne à son zénith Wszechdoskonałości dziejów Dans l’excellence de l’Histoire Wzięta tęczą zachwytu, Plaisir d’un arc-en-ciel, Polska przemienionych kołodziejów, La Pologne des charrons transformées, Ten sam… runął… na bruki z granitu! Elle même … est tombée … sur les trottoirs de granit ! I oto, jak zacna myśl człowieka, Et ici, comme la noble pensée, Poterany jest gniewami ludzi, Se heurte à la colère des hommes, Lub, jak od wieka Ou, comme les générations s’opposent Wieków wszystko, co zbudzi! Toutes les générations s’opposent à celui qui les réveille ! I oto, jak ciało Orfeja, Et ici, comme le corps d’Orphée, Tysiąc pasyj rozdziera go w części, Que mille passions arrachent A każda wyje: «Nie ja!…» Et qui à chaque fois crie : «Pas moi …»! «Nie ja!» — zębami chrzęści. « Pas moi! » – claquant des dents. Lecz ty, lecz ja? Uderzmy w sądne pienie, Mais toi, mais moi ? Déclamons le chant de la raison, Nawołując: «Ciesz się, późny wnuku! Criant : «Réjouis-toi, petit-fils tardif ! Jękły głuche kamienie: Les pierres sourdes murmurent : Ideał sięgnął bruku». L’idéal atteint le trottoir. «
L’albero a cui tendevi L’arbre à qui tu tendais la pargoletta mano, ta petite main, il verde melograno le vert grenadier da’ bei vermigli fior, aux belles fleurs vermeilles,
nel muto orto solingo dans le jardinsolitairesilencieux rinverdì tutto or ora, reverdittoutjustemaintenant, e giugno lo ristora et juin le ravive di luce e di calor. de lumière etde chaleur.
Tu fior de la mia pianta Toi fleur dema plante percossa e inaridita, battue etflétrie, tu de l’inutil vita Toi de l’inutile vie estremo unico fior,
unique fleur dernière,
sei ne la terra fredda,
tu es dans la terre froide, sei ne la terra negra tu es dans la terre noire né il sol più ti rallegra le soleil ne t’enchante plus né ti risveglia amor. l’amour ne te réveille plus.