POUCHKINE POEMES
1935
Alexandre Pouchkine
русский поэт- Poète Russe
русская литература
Littérature Russe
ALEXANDRE POUCHKINE 1835
pushkin poems
стихотворение – Poésie
Пушкин
POUCHKINE – Пу́шкин
Алекса́ндр Серге́евич Пу́шкин
1799-1837
[создатель современного русского литературного языка]
TRADUCTION JACKY LAVAUZELLE
–
LA POESIE DE POUCHKINE
СТИХИ АЛЕКСАНДРА СЕРГЕЕВИЧА ПУШКИНА
Пушкин
1835
LES CHANSONS DES SLAVES DE L’OUEST
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CHANT DE MORT
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ПЕСНИ ЗАПАДНЫХ СЛАВЯН
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Похоронная песня Иакинфа Маглановича
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Похоронная песня Иакинфа Маглановича
Chant de mort d’Hyacinthe Maglanovitch
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Hyacinthe Maglanovitch
Joueur de Guzla – Instrument de musique d’Illyrie
La Guzla était utilisée pendant les funérailles
(Cf. texte de Mérimée)
Narrateur présumé de La Guzla
Canular littéraire de Prosper Mérimée – 1827
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С Богом, в дальнюю дорогу!
Que Dieu t’accompagne dans ce voyage !
А Путь найдешь ты, слава Богу.
Et que tu trouves ta voie, par la grâce de Dieu.
Светит месяц; ночь ясна;
Va, la lune est claire et brillante,…
…
Чарка выпита до дна.
Et tu as bu ta coupe jusqu’à la lie.
Библиотеке для чтения
1835 г. – кн. 15
Publié dans la Bibliothèque pour la lecture
1835 – volume 15
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Вурдалак
LE MORT-VIVANT
ALEXANDRE POUCHKINE
1835
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LES JUGEMENTS DE Tolstoï
SUR LES POEMES DE POUCHKINE
Ayons donc pleine confiance dans le jugement du comte Tolstoï sur les poèmes de Pouchkine, son compatriote ! Croyons-le, encore, quand il nous parle d’écrivains allemands, anglais, et scandinaves : il a les mêmes droits que nous à se tromper sur eux. Mais ne nous trompons pas avec lui sur des œuvres françaises dont le vrai sens, forcément, lui échappe, comme il échappera toujours à quiconque n’a pas, dès l’enfance, l’habitude de penser et de sentir en français ! Je ne connais rien de plus ridicule que l’admiration des jeunes esthètes anglais ou allemands pour tel poète français. Verlaine, par exemple, ou Villiers de l’Isle-Adam. Ces poètes ne peuvent être compris qu’en France, et ceux qui les admirent à l’étranger les admirent sans pouvoir les comprendre. Mais il ne résulte pas de là, comme le croit le comte Tolstoï, qu’ils soient absolument incompréhensibles. Ils ne le sont que pour lui, comme pour nous Lermontof et Pouchkine. Ce sont des artistes : la valeur artistique de leurs œuvres résulte de l’harmonie de la forme et du fond : et si lettré que soit un lecteur russe, si parfaite que soit sa connaissance de la langue française, la forme de cette langue lui échappe toujours.
Léon Tolstoï
Qu’est-ce que l’art ?
Traduction par T. de Wyzewa.
Perrin, 1918
pp. i-XII
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